Une fleur qui ne fleurit pas

Traduit de l'ITALIEN par MARGUERITE POZZOLI

À propos

Fille unique d'un sous-préfet, Franca fait son entrée dans le monde lorsqu'elle va s'installer chez sa tante, près de Florence. Aux côtés de Fanny, qui devient sa meilleure amie, elle dédaigne les convenances de l'époque, opte pour des cheveux courts et une vie mondaine active, flirtant sans complexe avec des hommes. Mais lorsqu'elle rencontre Stefano, un jeune Sicilien attaché aux traditions, la confusion des sentiments l'assaille. Profondément éprise, Franca renonce progressivement à ses toilettes sophistiquées et à ses activités sociales, prête à rejoindre le village reculé dans lequel réside le jeune homme... au risque de se perdre elle-même.
Écrit en 1923, ce roman met en lumière de manière bouleversante la situation des « demoiselles » dans l'Italie du début du xxe siècle. Tiraillées entre le besoin de trouver un époux qui leur garantirait un statut social et le souhait de mener une vie plus indépendante, la plupart doivent se soumettre au poids des conventions souvent cruelles qui prédominent alors.

Rayons : Littérature > Romans & Nouvelles

  • Auteur(s)

    Maria Messina

  • Traducteur

    MARGUERITE POZZOLI

  • Éditeur

    Cambourakis

  • Distributeur

    Union Distribution

  • Date de parution

    01/03/2023

  • Collection

    Cambourakis Poche

  • EAN

    9782366247572

  • Disponibilité

    Disponible

  • Nombre de pages

    180 Pages

  • Longueur

    17.5 cm

  • Largeur

    11.5 cm

  • Épaisseur

    1.3 cm

  • Poids

    140 g

  • Support principal

    Poche

Maria Messina

Née à Palerme en 1887, Maria Messina a passé l'essentiel de sa vie à Naples, où sa famille s'installe en 1911. À partir de 1908, elle écrit de nombreux romans et recueils de nouvelles, jusqu'à Severa, publié en 1928, alors que sa sclérose en plaques l'empêche de poursuivre son œuvre. Elle en meurt en 1944, à Pistoia, sous les bombardements, oubliée de tous. Centrés sur la Sicile des petites gens, ses récits étaient très appréciés de son vivant, notamment par Giovanni Verga, et ont été redécouverts par Leonardo Sciascia.

empty