Vous avez tort mais refusez de l'admettre ? Avec acuité et humour, ce petit guide d'Arthur Schopenhauer recense et analyse tous les stratagèmes et ruses pour sortir vainqueur d'un débat, d'une dispute, ou d'une joute verbale. Pour le plaisir des amoureux de la réthorique et de la contradiction, l'auteur se livre ainsi à une savoureuse réflexion sur la dialectique du langage.
Bien que datant de 1864, l'Art d'avoir toujours raison est un ouvrage très actuel, qui vous permettra de développer un redoutable sens de l'autodéfense verbale en analysant votre adversaire pour mieux le terrasser. Vous ne serez plus le même orateur après l'étude de ce petit livre étonnant et puissant par sa pertinence et son efficacité.
« Le danger n'est pas dans les machines, sinon nous devrions faire ce rêve absurde de les détruire par la force, à la manière des iconoclastes qui, en brisant les images, se flattaient d'anéantir aussi les croyances. Le danger n'est pas dans la multiplication des machines, mais dans le nombre sans cesse croissant d'hommes habitués, dès leur enfance, à ne désirer que ce que les machines peuvent donner. » Georges Bernanos a notamment laissé derrière lui un pamphlet visionnaire destiné à réveiller les consciences. Plus d'un demi-siècle après la disparition de son auteur, La France contre les robots reste d'une incroyable actualité. Cette apologie de la Liberté est un défi jeté aux idolâtries du profit et de la force, une critique du capitalisme industriel et des tyrannies modernes, ainsi qu'une dénonciation du culte de la vitesse et du rendement effréné. Avec véhémence, Bernanos conteste l'idée selon laquelle le système matérialiste et mercantile conduirait fatalement au bonheur de l'humanité. Selon lui, en effet, il y aura toujours plus à gagner à satisfaire les vices de l'homme que ses besoins. Il explique ainsi : « Un jour, on plongera dans la ruine du jour au lendemain des familles entières parce qu'à des milliers de kilomètres pourra être produite la même chose pour deux centimes de moins à la tonne. » Une étonnante préfiguration de la mondialisation et des délocalisations ! Un cri appelant à la construction d'une société où il serait enfin possible de mener une vie digne de l'être humain.
Les Règles de la méthode sociologique, publié en 1895 par Émile Durkheim dans la Revue philosophique, constitue l'ouvrage où le projet sociologique de l'auteur, considéré comme le père de la sociologie française, apparaît clairement. Il cherche en effet à fonder la sociologie comme une science nouvelle et à l'établir institutionnellement ; ce livre répond à cette ambition où il définit les règles méthodologiques à suivre pour une étude sociologique.
Pour devenir une science, la sociologie doit répondre à deux conditions :
Elle doit avoir un objet d'étude spécifique, c'est-à-dire que pour obtenir une légitimité académique, elle doit se distinguer des autres sciences (philosophie, psychologie) : la sociologie serait l'étude du fait social ;
Elle doit mettre en oeuvre une méthode de recherche scientifique, rigoureuse, objective, qui se rapproche le plus possible des sciences exactes (comme la biologie) de manière à se détacher le plus possible des prénotions, des préjugés, de la subjectivité produites par l'expérience ordinaire et vulgaire : la sociologie se devra d'étudier les faits sociaux comme des choses.
En bref, la sociologie sera la science des faits sociaux, définie par une méthode qui lui est propre.
Publié en 1913 dans les Cahiers de la Quinzaine, L'Argent est l'un des essais où Charles Péguy exprime le plus ouvertement son rejet du monde moderne. Traitant de la réforme de l'école et de la guerre scolaire qui fait alors rage, de Jules ferry et des hussards noirs - ces instituteurs publics de la IIIe République qui l'ont formé -, de Jean Jaurès et du Socialisme, de Charles Maurras et de l'Affaire Dreyfus, du travail artisanal bien fait et de l'ascenceur social, de l'Église et de la République, l'auteur de Notre jeunesse s'en prend violemment à une certaine France des bourgeois et des propriétaires, une France qu'il voit sombrer au tournant du XXe siècle dans l'esprit de lucre, la spéculation et la politique politicienne au détriment du partage des vraies richesses.
De la limace à l'Être humain, la violence, action de tout Être vivant pénalisant les intérêts et les intégrités (physique et/ou psychologique) d'un autre, est le principal canal par lequel tous les Êtres vivants garantissent leur conservation (survie et bien-être). La violence est donc indissociable de la survie.
La principale instance régissant la violence est la dynamique de l'inconscient. Et le meilleur instrument d'estimation du potentiel de violence chez les Êtres vivants est leurs conditions de Base respectives. Plus la condition de Base d'une espèce vivante est précaire et vulnérable, plus cette espèce est dotée d'un potentiel de violence élevé. Dès lors, les estimations montrent que c'est l'Être humain qui détient le plus haut potentiel de violence. En effet, sa condition de Base est, de très loin, la plus précaire et la plus vulnérable. A travers cette extrême précarité, il est même capable d'exercer ce qui est communément appelé "la violence gratuite", voire les pires atrocités.
Malgré la puissance de son esprit capable de produire en quantité et en qualité des Biens & Services, nous montrons comment la motivation par le désir entretient, voire exacerbe la violence dans les sociétés modernes. En effet, en toute circonstance, le désir sera toujours supérieur aux ressources ou aux revenus. Car il est « insatiable ».
Par défaut, à cause du profil et du déploiement de la dynamique de l'inconscient, les rapports entre individus sont structurellement conflictuels. Pour augmenter ses chances de survie, l'individu doit nécessairement appartenir à une ou plusieurs coalitions (groupes). Parmi les coalitions tacites ou naturelles, on cite la famille, la tribu, la région, la nation, la race, l'humanité, etc. C'est aussi à travers ces coalitions que les individus exercent des rapports de force. L'issue de ces rapports de force édifie des complexes de supériorité et d'infériorité. Ces derniers sédimentent les imaginaires collectifs respectifs. C'est sur base de ces complexes qu'émergent divers types de sentiments et d'attitudes : condescendance, paternalisme raciste, haine, jalousie, aversion ou rejet, etc. Ces sentiments et attitudes sont le creuset du racisme et de la discrimination raciste. La nature et le niveau d'expression de ces sentiments varient en fonction tant des idéologies officielles que des conjonctures socioéconomique et sociopolitique.
Dans cet ouvrage, nous construisons un modèle simple capable d'apporter une vue panoramique sur la dynamique du racisme. A partir de ce modèle, il est possible de construire un tableau de bord efficace permettant de combattre ce fléau.
Ce livre traite des sources et de l'émergence de la Liberté. Nous y apportons la preuve qu'elle est le fruit de l'interdit. En effet, d'après Merleau-Ponty, « la liberté est toujours une rencontre de l'extérieur et de l'intérieur [...]. Il y a, comme dit Husserl, un "champ de la liberté". ». Cette rencontre est la confrontation entre diverses forces (autorités) antagonistes dont l'une est endogène à tout Être vivant et d'autres, exogènes. La première est celle de la dynamique de l'inconscient : l'autorité de l'inconscient. Les secondes sont l'action de divers pouvoirs explicites et implicites : autorité de la morale, autorité des lois, autorité des us & coutumes, autorité parentale, autorité de la nature, autorité de la déontologie, etc.
De cette confrontation émerge au préalable le libre arbitre défini comme étant l'espace ("champ de liberté") du conscient à partir duquel l'individu pose des choix et prend des décisions sans aucune forme de déterminisme. C'est à partir de cet espace "immaculé" qu'émerge la Liberté sous toutes ses formes. Dès lors, le libre arbitre est le creuset de la Liberté. Il la précède.
L'émergence du libre arbitre est la clé de la démocratie.
L'outil le plus puissant susceptible de libérer l'Être humain de sa servitude naturelle innée, et donc de faire émerger des sociétés pérennes et harmonieuses, est l'amour. Mais cette prééminence ne vaut pas pour tous les types d'amour. A ce titre, l'amour philéo, inné en tout Être humain, est le seul ayant une base biologique susceptible de produire des effets socialement vertueux tels que l'empathie, l'altruisme, la générosité, etc. Mais, ce type d'amour est régi par la dynamique de l'inconscient. Dès lors, il est parasité par les caractéristiques de cette dernière (égoïsme, impatience, convoitise, hypocrisie, etc.) à cause de l'insuffisance de la production de son hormone de base: l'ocytocine. Le potentiel de ce type d'amour est limité dans l'espace: on ne peut pas aimer tout le monde.
Le seul type d'amour efficace qui permettrait de libérer totalement l'Être humain de toutes les formes de servitudes (endogènes et exogènes) humaines est l'amour agape ou amour inconditionnel. Mais il n'a pas des bases biologiques. Il faut l'acquérir.
Nous avons évalué la pertinence de la théorie de l'évolution à l'aune de la Psychanthropologie. Les résultats sont sans équivoques. En effet, en restant dans la même dimension que Darwin, celle du matérialisme, la théorie de l'évolution n'est absolument pas logique et ne peut donc pas être soutenable. En dehors du constat que ses déductions, voire inductions, s'appuient principalement sur des croyances, cette évaluation débouche sur une conclusion sarcastique. Elle montre que si l'évolution avait eu lieu, elle se serait passée dans le sens inverse. C'est-à-dire que c'est l'Homme qui serait ancêtre du Singe et non l'inverse. Ce qui, dans l'entendement de tous, est une profonde aberration.
A fortiori, au-delà du matérialisme darwinien, il est impossible de démontrer l'apparition et l'évolution de l'esprit, un des principaux outils de la survie humaine. L'esprit et son champ d'activité sont radicalement hors d'atteinte de la Science. Il représente pourtant l'unique courroie de captation de la principale ressource de la survie humaine : les idées.
En feuilletant ce livre vous allez découvrir mon histoire concernant le harcèlement scolaire.
Pendant des années, j'ai subi des coups et des moqueries.
Aujourd'hui, j'écris ce témoignage pour pouvoir aider et sensibiliser un maximum de personnes face à ce fléau, touchant 1 élève sur 10 en France.
Cet ouvrage est né de la volonté d'aider, financièrement, les soignants marseillais, infirmières, brancardiers, ambulanciers, aide-soignants, personnels de sécurité et de nettoyage, qui ont permis aux médecins de sauver des vies depuis les débuts de la crise du 'Covid-19'. Nous avons choisi de reverser les bénéfice de cet ouvrage à l'association HopeProject, qui oeuvre à l'hôpital de La Timone, à Marseille, en particulier pour les enfants malades.
Le livre est né à l'initiative de l'écrivain Jean-Paul Delfino, en partenariat avec François David (Parlez-moi d'un livre) et Patrick Coulomb (The Melmac Cat).
Depuis janvier 2022, pas moins de 48 protocoles sanitaires scolaires se sont succédés provoquant mal-être et souffrance chez les enfants et les adolescents. Les effets secondaires de la vaccination massive des adolescents a également engendré des drames humains totalement ignorés de façon déloyale par les médias ou les journalistes.
Issu de plus de 18 mois de recherches en science des données, cet ouvrage délivre des indicateurs statistiques sur l'impact physiologique et psychologique des protocoles sanitaires en milieu scolaire et dresse un état des lieux chiffré et argumenté des risques concernant la vaccination anti-Covid chez les enfants et les adolescents.
Ce livre est dédié à chaque parent qui s'interroge sur les bénéfices - risques des mesures sanitaires imposées à nos enfants et à nos adolescents et propose un éclairage sur les conséquences de ces mesures sur leur santé.
Comprendre pourquoi la violence augmente inexorablement depuis plusieurs années permet de comprendre comment elle pourrait diminuer. La violence est sous-tendue par une posture relationnelle de rivalité qui est souvent inconsciente et qui est très répandue car valorisée socialement. Nous sommes encouragés à être forts pour nous adapter à une société pyramidale qui induit de la rivalité. Les places du haut sont survalorisées et assorties de privilèges tandis que celles du bas sont dévalorisées et défavorisées. Cela induit chez de nombreuses personnes l'envie de monter dans l'organisation sociale. Mais il y a structurellement moins de places à l'échelon supérieur que de prétendants à y monter, ce qui justifie souvent le fait de se mettre en rivalité les uns envers les autres. Il existe des structures d'organisations sociales non pyramidales, dont l'une est compatible avec nos exigences fondamentales de sens, de justice, de paix et d'amour.
Dans ce livre, nous construisons un modèle spécifique portant sur l'analyse de "la nature de l'intelligence générale humaine". Il met en lumière les conditions d'émergence et modélise la manière dont se répartissent les dotations des potentiels d'intelligence chez toutes les espèces d'Êtres vivants. Dans ce sillage, nous déconstruisons l'idée de l'inégalité des races fondée historiquement sur des spécifications intellectuelles. En effet, nous démontrons qu'indifféremment de leurs "races", de leurs origines et de leurs classes sociales, tous les Êtres humains sont dotés exactement d'un même niveau de potentiel d'intelligence. Cependant, l'exploitation de ce potentiel est conditionnée par la synergie entre le climat et l'adaptation, par voie génétique, liée aux contraintes climatiques pour la survie. Dès lors, grâce à cette synergie, les groupes humains, issus d'un type spécifique de climat, ont tacitement bénéficié, au cours des milliers d'années, d'un niveau supérieur d'accumulation d'automatismes d'aisance à exploiter le potentiel de l'intelligence. Il n'y a pas de mérite. C'est par la force des choses.
Cinquante ans après avoir été énoncées par Carlo Maria Cipolla, les lois fondamentales de la stupidité sont-elles toujours pertinentes? La réponse de Philippe Bonnamy est sans équivoque. Non seulement elles le sont, mais le temps en a même ajouté une nouvelle, tout aussi fondamentale. Poussant plus loin l'analyse, Philippe Bonnamy pose une autre question avec le même sourire en coin: est-ce que la stupidité ne mériterait pas autant, et même davantage que le temps d'être anoblie au rang de quatrième dimension de l'Univers.
Dans la société économique, les individus (homoeconomicus) lient leur existence à la consommation des Biens & Services. Précisément, c'est à travers ce rapport très étroit à la consommation qu'ils donnent un sens à leur vie. Dès lors, on parle de consumérisme et de société de consommation. La société économique est à elle seule un oxymore. Elle traduit une modernité archaïque. En effet, d'une part, ses mécanismes promeuvent un essor considérable de production des Biens & Services aspirant à améliorer toujours plus le bien-être des Êtres humains. Mais, d'autre part, à cause de l'impact prééminent de la dynamique de l'inconscient, elle souffre de myopie : seul l'instant présent ( l'immédiateté) compte. Les caractéristiques de cette dynamique (égoïsme, convoitise, impatience, avidité, etc.) s'imposent dans le comportement des homoeconomicus . Ceci se traduit par les neutralisations de la raison, de l'autorité de la conscience et de celle de la morale, de l'empathie et de la compassion. Ces neutralisations débouchent sur un niveau très élevé du potentiel de propension à exercer la violence. Aussi, ces mécanismes imposent un phénomène de double servitude chez les homoeconomicus : ils ne sont pas libres et la société économique n'est donc absolument pas compatible avec la démocratie. A la base, ces mécanismes promeuvent l'individualisme et, donc, des rapports de force permanents débouchant sur l'émergence des classes sociales et la production structurelle des inégalités. Bref, ses mécanismes détruisent la VIE dans son ensemble. Cette configuration est une profonde régression. C'est le retour en force de l'instinct primaire dans les comportements humains. De ce point de vue, la société économique est fondamentalement archaïque. Son adoption est une erreur majeure.
Aurait-on pu imaginer au siècle dernier qu'au XXIème siècle l'humanité serait encore confrontée au racisme ! Tout le monde se défend d'être raciste ou prétend n'en avoir jamais subi les effets. Or nous sommes tous, peu ou prou, porteurs de ses stigmates. Luc LAMIN s'attache à démontrer que chacun, à un quelconque moment de sa vie, a été confronté au phénomène sous une forme ou sous une autre. Vision tronquée des choses, démarches politiciennes, formulations ambiguës d'intellectuels, informations mensongères, etc., sont les supports permettant de naviguer entre le racisme, l'ostracisme et à la discrimination. La vie en est désorientée, sous le prétexte fallacieux de la complexité du monde moderne. Aujourd'hui, le discours discriminatoire des siècles passés est toujours en usage, à quelques nuances près : il sert de support à la lutte pour le pouvoir. L'idéologie raciste, qui est souvent issue de la vision de l'oligarchie coloniale, et qui est donc une séquelle de la période de l'esclavage, alimente encore la pensée moderne. Quoiqu'il soit très difficile d'être positif, tant le brouillage et la manipulation pratiqués par certains intellectuels et politiciens sont permanents et prégnants, l'auteur a su trouver les mots justes pour convaincre le lecteur de la sincérité du propos et surtout de son impartialité. Il traduit ce qu'il voit d'un oeil lucide et réaliste : un enchevêtrement de visages effarés ou de gens en colère prêts à s'affronter sans raisons sérieuses. Dans ce fouillis d'une humanité perturbée, transparaît, sans que la conscience en soit claire, le malaise de notre société qui n'est que le résultat d'une manipulation fondée sur la peur et le mépris de l'autre, à laquelle certains trouvent un intérêt sordide, et qu'ils encouragent pour cette raison.
Christelle nous livre, dans ce témoignage bouleversant, les difficultés scolaires que rencontrent les sourds, dont 80 % selon un rapport gouvernemental récent seraient illettrés. A quoi bon l'intégration quand elle engendre souffrance, frustration et accentue les discriminations vécues au quotidien ? En lisant ces lignes, le lecteur s'interroge sur les bienfaits de l'inclusion des sourds dans le système scolaire ordinaire. Favorisée par les pouvoirs publics, elle semblerait au contraire empêcher l'égalité des chances et aggraver l'échec scolaire. Ce texte rare (car très peu de sourds écrivent), nous propulse dans un univers étranger où les attitudes, l'esprit de groupe et les émotions nous nous surprennent. Le sous-texte, riche en pistes de réflexion psycho-socio-médicopédagogiques invite à considérer très sérieusement le problème.
Le passé de Michaela est trouble. Cette femme a vécu toute sa vie perdue dans ses souvenirs de jeunesse qu'elle traîne comme un fardeau. Son fils Baptiste l'a toujours connue silencieuse et renfermée. Il lui reprochait de passer plus de temps à se morfondre plutôt qu'à s'occuper de ses enfants. Mais maintenant qu'elle est décédée, Baptiste cherche à découvrir la vérité sur son histoire, quitte à éveiller les démons de ses frères et soeurs qui n'ont de cesse de se disputer. De 1936 à 1998, de nombreux évènements ont scellé le destin de Michaela. Baptiste va suivre les traces de son passé et celui de ses parents pour comprendre ce qui a déchiré sa famille. Un drame familial porté par des personnages fouillés et une histoire retraçant la vie d'une famille sur plusieurs générations.
Luce a tout pour être heureuse : une famille aimante, des parents adeptes de l'éducation positive. Mais il y a une vie en dehors de la maison, même pour une toute petite fille. Et la rencontre entre Luce et l'école se passe mal. Elle s'y ennuie, n'aime pas les autres élèves et a beaucoup de mal à se faire des amis. Elle va alors devenir la cible d'intimidateurs. Luce n'en parle pas. Ni à ses parents, ni aux adultes qui l'entourent. Les années passent et le harcèlement s'intensifie. Encore et encore. Mais un jour Luce rencontre Gudule c'est une coach excentrique. Gudule va guider Luce pour qu'elle reprenne goût à la vie et qu'elle apprenne à s'aimer avec des méthodes originales qui les emmèneront jusqu'en Afrique.
Avant la colonisation par l'Homme blanc, les Peaux-Rouges occupaient l'ensemble du continent nord-américain; après, sur fond de guerre civile et front de guerres indiennes, quelques 375 traités furent conclus entre le gouvernement des États-Unis d'Amérique et les groupes ethniques autochtones...
Des territoires accordés solennellement à la Nation indienne, il ne reste à ce jour que 2,5 % de l'Amérique du Nord!
Mais au-delà de ces maigres réserves, au-delà des stéréotypes hollywoodiens et des objets touristiques d'apparat, au-delà de leurs ossements enfouis sous des milliers de miles de freeways, il nous reste des Amérindiens leur parole...
Une parole simple et naturelle; droite et authentique. Une parole digne, souvent tragique, définitivement écrite à l'encre de leur sang: UNE PAROLE-ACTE
Le sociologue Célestin Bouglé réunit en 1931 dans ce petit livre les résumés de quelques-unes de ses conférences données depuis la guerre auprès de divers groupements de propagande : pacifistes et féministes, laïques et coopérateurs. Comme il le reconnaît lui-même dans son avant-propos, Le lecteur remarquera que, dans ces conférences elles-mêmes, je me suis efforcé d'incorporer et d'utiliser les résultats des-recherches de sociologie proprement dite auxquelles j'ai pu d'autre part me livrer, par exemple en étudiant les idées égalitaires, la démocratie ou les castes.La question reste ouverte : la difficile question des rapports de la science avec l'action, de la sociologie avec la morale proprement dite. J'ai touché pour ma part à cette question, qui obsède tant de philosophes aujourd'hui, en étudiant « l'évolution des valeurs »; j'espère pouvoir y revenir quelque jour.
Cet ouvrage comprend :
Avant-propos, par Célestin Bouglé I. Tradition Française et Société des Nations II. La Coopération Intellectuelle Internationale III. Le Problème Moral de la Démocratie IV. La Vie Morale et l'Idéal National V. Féminisme et Sociologie VI. Producteurs et Coopérateurs.
Et vous, que seriez-vous prêt à faire pour réaliser le dernier souhait d'un être cher ? Théo est atteint d'une maladie génétique rare, le syndrome de Wolfram, contre laquelle il se bat chaque jour avec force et joie de vivre, en musique et avec beaucoup de dérision. Ses passions ? La nourriture et le cyclisme. Deux choses dont la vie le prive petit à petit... Alors que le découragement le guette, sa soeur Lily cède enfin à sa requête si souvent formulée : parcourir le globe. Entre rires et moments de doutes, débute alors un périple un peu fou, fait de premières expériences, de rencontres, d'amour et d'aventures. Un voyage à bicyclette, à travers les plus merveilleux paysages du monde et au plus profond de l'âme humaine. Une esquisse de l'amour fraternel. Une course contre la montre avec la fureur de vivre. Un défi lancé à la grande faucheuse... Car demain n'attend pas.
Doumé Quintin n'a pas eu une vie ordinaire. Plus d'un, ayant traversé les mêmes épreuves que lui, aurait sombré. Quintin le tenace a préféré se battre. Il a choisi la vie.
Dans sa jeunesse, il trouve dans le sport, notamment dans le rugby, un remède à ses blessures d'enfance. Sur le terrain, il vibre, il se défonce. Mais alors qu'il n'a pas vingt ans, il doit affronter coup sur coup deux drames. Son père, son héros, qui lui a transmis sa passion pour le sport, décède subitement. Un an plus tard, pendant un match de rugby, le jeune homme est victime d'un très grave accident qui le laissera paraplégique à vie. La pente à remonter est dure et douloureuse, mais Quintin le tenace s'accroche. Porté par une force intérieure inébranlable, il parviendra peu à peu à s'accomplir dans tous les domaines de la vie.
Avec ce récit, Doumé Quintin signe une autobiographie émouvante et pleine d'espoir.