"Dans ce dernier numéro de l'année, La Déferlante prend pour thème JOUER. Dès la petite enfance, les rayons jouets des magasins distinguent jeux de filles et jeux de garçons. Des stéréotypes qui perdurent bien au-delà des cours de recréation, notamment dans l'industrie du jeu vidéo. Comment rebattre les cartes ?
Également au sommaire : une rencontre percutante entre l'écrivaine Virginie Despentes et l'ex candidat du NPA à la présidentielle Philippe Poutou ; un portrait de la bédéiste états-unienne Alison Bechdel, figure majeure de l'autofiction dessinée ; un grand débat sur les liens entre politique, mémoire et création artistique : « Que faire des oeuvres problématiques ? ». Et toujours des chroniques, des papiers Histoire, le strip de Lisa Mandel..."
"Pour ce numéro de rentrée, La Déferlante interroge les liens de transmission et de collectif en déclinant la notion de « famille » sous différents aspects : celles où l'on se cherche une place dès l'enfance, celles que l'on s'invente une fois adulte, celles dont, au contraire, on ne parvient pas à s'émanciper.
À l'occasion de la rentrée littéraire, elle questionne, avec Vanessa Springora, Lola Lafon ou encore la regrettée Nawaal El Saadawi, la façon dont la littérature peut contribuer à réparer - ou pas - les violences sexuelles. Alors que la séquence #MeToo s'est ouverte il y a 5 ans maintenant, comment les écrivaines participent-elles à l'émergence de nouveaux récits, et à un changement de regard sur ces sujets ?
Au programme également : une bande dessinée inédite signé Nine Antico, un grand débat sur la place des hommes dans les luttes féministes, un reportage sur les femmes lesbiennes ukrainiennes réfugiées en Pologne, un portrait de la romancière Jean Hegland..."
Sélectionnés par la rédaction de Philosophie magazine, voici les meilleurs textes d'idées parus dans la presse internationale - The Guardian, The Intercept, The New York Times, Le Monde, La Vanguardia... Cette année, ce sont 23 textes de femmes philosophes, écrivaines et essayistes que nous avons choisi de sélectionner et de réunir. Uniquement des textes de femmes pour donner à entendre des voix plus rares et se demander comment ces voix infléchissent la pensée. Des textes percutants et accessibles qui éclairent à chaque fois une question précise de notre temps.
Ce best of des idées donne la parole à de grandes figures comme Naomi Klein sur la guerre en Ukraine ou Rebecca Solnit sur les armes à feu aux Etats-Unis et à la jeune génération comme Manon Garcia sur l'avortement ou Lauren Holt sur la nature et l'environnement, ainsi qu'à des intellectuelles du monde entier comme Ruth Chang ou Ashwini Vasanthakumar.
Un numéro 5 de La Déferlante placé sous le signe de la libération de la parole.
Selon quelles modalités les femmes peuvent-elles ouvrir la voix dans l'espace public, que ce soit pour dénoncer des violences ou affirmer leurs droits ?
- RENCONTRE / Avec la journaliste Rokhaya Diallo, l'actrice Adèle Haenel revient, en exclusivité, sur son cheminement féministe depuis deux ans. Son témoignage de victime d'agression sexuelles et son positionnement radical ont marqué, à l'hiver 2019-2020, le milieu du cinéma et plus généralement la société française.
Le thème se décline à travers plusieurs angles : un reportage suit des femmes transgenres qui travaillent, avec un orthophoniste, à la progressive féminisation de leur voix.
Chez Brasero, nous éclairerons l'histoire de manière oblique, en privilégiant les contestations, les marges, les personnages et événement obscurs, oubliés ou méconnus. Nous aimons les gens ordinaires et l'humanité haute en couleur : les dandys et les femmes à barbes, les binoclards et les escogriffes, les oiseaux rares et les herbes folles, les infâmes et les infimes, les excentriques et les rebelles. Nous aimons les en-dehors et les bas-côtés, les armistices et les révolutions, les Atlantides et les Icaries.
Il y a cent vingt ans, Emile Zola mourait dans son sommeil, intoxiqué par la combustion d'un feu de cheminée couvert. Un événement au retentissement mondial, pour cet écrivain hors-norme, véritable monument national, dont le 1 invite ici à revisiter la vie, afin de prendre la mesure de l'oeuvre. Car plusieurs Zola coexistent en Zola : le père des Rougon-Macquart, l'épris de justice prêt à sacrifier sa gloire pour Dreyfus, ou encore l'homme privé, passionné de progrès et de nature, mais au coeur partagé entre deux femmes. Portrait de celui qu'Anatole France qualifia de « moment de la conscience humaine ».
Dossier: La gauche (im)morale N'en déplaise aux apôtres du politiquement correct, la droite n'a pas le monopole de l'immoralité. Des guerres de Vendée au Traité de Maastricht en passant par la colonisation, l'histoire de la gauche française est jonchée de crimes et de fautes, qui n'effacent pas bien sûr les acquis sociaux et la conquête des libertés, mais qui devraient pour le moins inspirer une certaine humilité aux progressistes d'aujourd'hui.
Pour son dernier numéro de l'année, La Déferlante choisit pour thème de son dossier central "Aimer". Alors que les liens amoureux et l'idéal de vie en couple n'échappent pas aux critiques féministes, est-il possible d'inventer d'autres manières de s'aimer ? Au sommaire également : Lydie Salvaire, bell hooks, Delphine Panique ou encore Colette Guillaumin.
Une revue qui se donne pour mission de démocratiser les savoirs universitaires et militants pour déconstruire le patriarcat et donner à chacun des moyens d'émancipation au quotidien. Le premier numéro est consacré à la question du genre, sur la manière dont on devient un garçon ou une fille, sur la transition de genre ou encore l'aspect politique de la naissance.
Dans sa prochaine édition, Front Populaire donne la parole à ceux qui "fument des clopes et qui roulent au gazoil" comme on dit au gouvernement, et qui font tenir le pays. Un numéro pour montrer que la "France d'en bas", avec sa clairvoyance, son courage et ses idées, est une chance pour la France. Au sommaire: Michel Onfray, Stéphane Simon, Céline Pina, Henri Pena-Ruiz, Anne Nivat, David Cayla, Christine Kelly, Jacques Sapir...
Qui veut éclairer les ressorts sensibles de la vie sociale doit affronter un jour ou l'autre le vaste continent de l'indifférence, de la désaffection, de l'absence de sentiment. Ce numéro anniversaire de Sensibilités lui en donne l'occasion. En rappelant, d'abord, que le contraire de l'émotion n'est pas tant la raison que l'insensibilité précisément : aux êtres comme aux choses.
Et l'on songe ici à ces indifférences logées au creux du quotidien. Celles qui se sont installées dans nos vies face à l'incessant chaos du monde, dans nos rues au contact de la misère sociale et affective, au sein de mégalopoles travaillées par la montée de l'individualisme. Mais cette puissance d'inattention trahit aussi, outre nos refus de voir et nos lâchetés partagées, l'anesthésie d'une sensibilité sur-sollicitée par l'information continue.
Observer l'insensibilité, c'est aussi entrevoir d'autres formes de sensibilités, parfois plus aiguës, plus intenses. L'insensibilité d'ailleurs, loin d'être seulement subie, peut être aussi désirée. Elle relève alors d'un travail, d'un façonnement des esprits et des conduites. Qu'il s'agisse des techniques d'endurcissement enseignées dans les casernes, de la distance émotionnelle minimale nécessaire aux soignants à l'hôpital ou encore de la surdité des savants à la souffrance animale dans leurs laboratoires. Plus paroxystique encore : celle de l'ascète, qui s'élève grâce à la négation de son corps ; celle du bourreau, qui ne s'exécute qu'en voulant congédier l'émotion.
L'insensibilité, degré zéro de la sensibilité, vraiment ?
Pour ce nouveau hors-série, Reprise de terres devient rédacteur en chef !
Reprendre et libérer des terres : et si le combat écologique commençait ici. Et si inventer des tactiques foncières, politiques et juridiques pour contrer l'accaparement et le saccage des terres par le productivisme pouvait nous sortir de l'apathie ambiante et nous offrir quelques premières victoires ? Comment organiser à nouveau la vie autour de communs qui prennent en compte tous les êtres qui habitent un lieu ? Socialter tentera, avec le collectif Reprises de terres, de repartir de la base : le sol, là où croît la vie et où retourne ce qui meurt.
Médecin des pauvres, maire de Montmartre sous la Commune, député du 18e arrondissement, journaliste, écrivain, parlementaire redouté rompu aux combats de la vie politique, sénateur, ministre de l'Intérieur, président du Conseil par deux fois, chef de guerre... Historia Grand Angle vous invite à découvrir, ou redécouvrir, les différents visages de ce républicain convaincu.
Entré dans l'Histoire et la légende, comme le Père la Victoire et l'artisan du traité de Versailles, le Tigre est un homme de conviction, ardent défenseur de la patrie qui apparaît comme le véritable vainqueur de la Grande Guerre. Autant admiré qu'haï, à droite comme à gauche, il est aussi un personnage impulsif, autoritaire et complexe. Les meilleurs spécialistes brossent le portrait tout en nuances du fauve le plus célèbre de l'Histoire de France dans ce dossier disponible chez votre marchand de journaux et en librairie.
Au sommaire de cette publication très attendue, un dossier consacré aux "Femmes de guerre. Le mythe, le tabou et la nécessité" et nos rubriques habituelles :
Les grandes archives : Léon Cuffaut: de l'Espagne de Malraux à l'escadrille Normandie Niémen.
Infographie : Radiographie des désastres romains: Tessin, Trébie, Trasimème, Cannes.
Interview posthume : "Sire, deviez-vous vraiment entrer en guerre ?" De notre envoyé spécial à Camden Place auprès de l'ex-empereur Napoléon III.
Le concept : La manoeuvre.
Récit : Les paras allemands sur la Crète: la première conquête par les airs.
Portfolio : La guerre de Corée.
L'arme : Comment le Moyen Age a inventé le canon.
Interview : Robert Paxton s'est-il trompé ? Les Français et les Juifs sous Vichy.
Portraits croisés : Lee et Grant, les frères ennemis.
Le débat : France-Algérie: peut-on (ré)concilier les mémoires ?
Y aura-t-il du chauffage à Noël ? Et 50 autres questions sur notre addiction à l'énergie Le dossier central de ce 8e numéro d'Oblik est consacré à l'énergie et s'interroge sur notre dépendance aux énergies fossiles et nucléaire :
Nous sommes tous des toxicos. Evidemment ce n'est pas facile à reconnaître. Surtout quand les produits auxquels nous sommes accros émettent des fumées tellement nocives, des vapeurs tellement suspectes qu'elles menacent de faire crever toute la planète. Nous le savons et pourtant nous continuons de nous rouler aux pieds des dealers du monde entier pour qu'ils nous vendent notre dose quotidienne de pétrole, de charbon, de gaz... Rien d'étonnant dans ces conditions à ce que ces trafiquants en profitent. A ce qu'ils nous extorquent des montagnes de pognon pour forer plus encore les entrailles de la terre et extraire de nouvelles quantités de drogues dures. Ou qu'ils menacent de nous priver de dope si nous nous avisons de contester leurs méthodes de gangsters. Il serait grand temps que nous décrochions. Mais attention, certains produits de substitution en vente sur le marché sont radioactifs ! Préférons les cures de soleil et de grand air qui, elles au moins, sont renouvelables.
On retrouvera également dans ce 8e numéro un roman-photo de Gregory Jarry, auteur et éditeur de bande dessinée (Éditions FLBLB à Poitiers) ; un reportage illustré sur la révolution statistique et graphique des isotypes dans la « Vienne rouge » des années 1930 ; une enquête sur les accidentés du travail illustrée par Enzo ; un portfolio sur l'homo detritus signé Stephan Gladieu...
Dans Oblik, tous les arts graphiques sont mobilisés pour renouveler le journalisme.
Puisque notre impasse politique et économique est aussi une panne intellectuelle, Socialter entend proposer des idées d'avant-garde, des réflexions stratégiques et des prises de position fortes avec Bascules. Pensé comme un OVNI éditorial à l'intersection de l'essai et de la revue, Bascules rassemble huit textes inédits de philosophes, chercheurs et écrivains, tous artisans de la pensée de demain. Après le succès d'une première édition qui rassemblait notamment des textes de Bruno Latour, Annie Le Brun et Anselm Jappe, Bascules #2 se fait à nouveau le porte-voix de ces figures qui détonnent dans le paysage intellectuel et médiatique, et qui vont nourrir les luttes et les alternatives à venir.
110 pages sur un mono thème avec un traitement rubriqué façon Mook. Sujet : Les Apaches et l'épopée de son chef Geronimo mais aussi de Cochise. Grand Angle alternera un article de 15 à 17 pages anglé sur le thème de Geronimo le Rebelle d'un peuple réfractaire.
Puis déclinera le numéro avec des rubriques thématiques maquettées de manière ad hoc : une bataille, un fait divers, un fact checking, un sujet gastronomie, une uchronie, un abécédaire pédagogique pour les nuls, une BD, des infographies sur la culture matérielle apache et la répartition des tribus, des récits sur la vision des vainqueurs et des vaincus mais aussi « Et après : les réserves apaches aujourd'hui.
.En + Les outils bibliographiques, la filmographie...
Chaque rubrique sera confiée à un historien spécialiste de telle manière que la lecture soit plurielle et facilitée mais que l'ouvrage soit référentiel. Tant pour les adultes que pour un public jeune. Les Apaches, Geronimo le Rebelle : l'imaginaire indien par excellence Les Apaches constituent la tribu indienne la plus traitée par le cinéma des westerns américains. Sans doute parce qu'ils ont manifesté entre Mexique et états unis la plus grande autonomie. La plus grande altérité. La plus grande capacité à s'échapper. Citons les films culte : « La révolte des apaches », « Fort Apache », Fureur Apache «, « Major Dundee », « La flèche brisée » ... Et bien sûr ce sont les héros privilégiés de la célèbre série BD « Les tuniques bleues ». Tribu rebelle constituée de plusieurs clans, les Apaches ont résisté d'abord les Espagnols (1520-1821), puis les Mexicains et enfin les Américains qui parviendront à les soumettre à la fin du XIXe siècle