Philippe Govin vous livre au fil de ces pages un témoignage, à sa façon, de cette période unique et riche en observations, événements, tromperies, scandales, voltes-faces en tous genres... Elle a fourni à l'auteur une irrésistible et copieuse inspiration. P.G. vous invite à le suivre dans son interprétation des multiples facettes de ce confinement grouillant d'intérêts. Sans prétention et non exhaustivement, c'est l'histoire de ce confinement vécu par nous tous de l'intérieur.
Le récit humoristique illustré d'une escale hors du temps.
Cartoons, strips et bandes dessinée composent cet album bourré d'humour. Moeurs, travers et anecdotes sur les humains sont interprétés par Philippe Govin à sa façon (...) Humour au premier degré ou souvent décalé, chaque page offre une vue particulière de « notre » nature.
Cet album vous dresse un portrait des relations entre les humains et leur porte-monnaie.
Une multitude de sujets tournant autour de l'argent. Les banques, les radins, la sécu, les économies, les riches, les pauvres, les courses...
Et même si cela paraît exagéré, ce n'est jamais loin de la réalité !
La musique dans tout ses états ! Les musiciens leurs instruments, les chefs d'orchestres et les spectacles, les mélomanes et autres gags issus de l'inspiration souvent décalée de Philippe Govin.
Médiatisée depuis une dizaine d'années au travers de témoignages souvent poignants, l'histoire complexe et douloureuse des « enfants de la Creuse » est encore largement méconnue.
Qui sont ces mineurs de La Réunion transplantés dans l'Hexagone entre 1963 et 1984 ?
Selon quel processus ? Ont-ils été exploités par des fermiers de régions reculées ? Quelle est la responsabilité de l'Etat français ? Peut-on parler de déportation ?... Autant de questions qui suscitent des débats passionnés et méritent un éclairage scientifique.
C'est ce à quoi s'attachent ces quatre auteurs dans cet ouvrage issu d'un long travail de recherche et d'analyse d'archives souvent inédites.
Pratique littéraire adoptée depuis le Moyen Âge et choyée particulièrement par les érudites et les lettrées de la Renaissance, la réécriture, procédé similaire à celui de la contrafacture en musique, loin cependant de celui des copistes en peinture, est une manière de faire la révérence aux prédécesseurs dans le but de s'inscrire dans une tradition littéraire. La référence à un texte modèle peut être plus ou moins explicitement énoncée dans l'oeuvre ou plus ou moins laissée en suspens, abandonnée au décodage de la lectrice/du lecteur. De toutes les manières, la réécriture passe par l'emprunt en créant ainsi l'inter-texte avant de prendre forme dans l'hypertexte. Or, si s'interroger sur la question de la réécriture signifie s'intéresser à la fois à celle de l'écriture, de la lecture et de l'écriture de la lecture, la réécriture se donne d'abord à voir comme un effet de lecture ; lecture qui s'avère chez certaines auteures une relecture au deuxième ou troisième degré des grands textes fondateurs. Ainsi la double démarche de relecture-réécriture met-elle en place une riche circulation entre les textes tout en installant une frontière fluide entre le modèle générateur et le nouveau texte ; elle suppose la connaissance intime d'un important corpus littéraire et incite à la réflexion sur la réception et la perception d'une oeuvre.