1986. Charles Gardner et Roy Curtius sont isolés sur une base en Antarctique. Ils participent au programme de recherche d'éventuels signaux en provenance d'une intelligence extraterrestre. Si Charles est pragmatique et expansif, Roy est taciturne et, surtout, obsédé par la lecture de la Critique de la raison pure. Leur cohabitation forcée va virer à l'inimitié à cause d'une lettre : une de celles que Charles a reçues et qu'il a accepté de vendre, sans l'avoir lue, à Roy qui ne reçoit jamais de courrier.
La tension est à son comble lorsque celui-ci prétend avoir résolu le paradoxe de Fermi grâce aux textes de Kant. Serait-il devenu fou ? Représente-t-il un danger, alors qu'une tempête éclate à l'extérieur et qu'aucun secours n'est envisageable avant plusieurs jours ? La vision récente du film The Thing, de John Carpenter, n'est pas pour rassurer Charles... A la fois roman d'aventures drolatique et tour de force littéraire érudit, La Chose en soi nous emporte dans un voyage effréné à travers le temps et confirme l'immense talent d'Adam Roberts.
Dans un futur lointain, notre système solaire est désormais habité et la Terre est le lieu de villégiature des plus riches. Six clans se partagent l'univers connu et maintiennent le reste de la population dans la plus extrême pauvreté.
Trois énigmes criminelles composent ce roman : l'une est un récit carcéral, l'autre une enquête policière, la dernière un mystère en huis clos. Dans chacune, le coupable est identique : le tristement célèbre Jack Glass.
Vous essaierez certainement de résoudre ces enquêtes, car vous en connaissez le meurtrier. Évident ? Pas forcément, car Jack Glass est un esprit brillant... qui risque de vous surprendre.
Adam Roberts réussit le tour de force de mêler science-fiction et intrigues dignes des plus grands romans policiers. Jack Glass a reçu le prix de la British Science Fiction Association en 2012 et le prix John W. Campbell Memorial 2013.
Klara et son père, Miklos Gyeroffy, font partie des rares chanceux capables de se placer sur orbite par leurs propres moyens.
Là-haut, un nouvel espace de liberté s'offre à eux, un vaste territoire vierge de toute règle : les Hautes-Landes. Mais, outre les riches excentriques, cette nouvelle frontière attire aussi de dangereux criminels, bienheureux de pouvoir échapper aux poursuites des autorités terriennes. C'est, sur trois générations, l'histoire de cette nation naissante qui nous est contée, une histoire inextricablement liée à celle de la famille Gyeroffy.
En 2015 sortira sur grand écran le septième épisode de la série, dix ans après le sixième (en fait, le troisième) et dernier film (à part le premier, qui vient ensuite, bien qu'il soit sorti en 1977, et après il y a les deux suivants). Vous pigez rien ? Normal. Pourtant, malgré cet ordre bizarroïde, c'est l'oeuvre cinématographique qui domine la culture populaire depuis quarante ans. Tout simplement le plus gros truc de SF au cinoche qui ait jamais existé. Et la plus puissante franchise de merchandising. C'est pourquoi il était grand temps de parodier ce qui semble avoir été fait pour. Que la Farce soit avec vous !
« Bien rigoler, tu vas ! » - Yodla (maître Jedognon)
Lizbreath Salamander is young and beautiful. Her scales have an iridescent sheen, her wings arch proudly, her breath has a tang of sulfur. And on her back a tattoo of a mythical creature: a girl.Welcome to the world of The Dragon With The Girl Tattoo. A w
A Christmas Carol with added festive zombie gore
Tighe lives on the wall. It towers above his village and falls away below it. It is vast and unforgiving and it is everything he knows. Life is hard on the wall, little more than a clinging on for dear life. And then one day Tighe falls off the wall. And
In March 2004 a group led by Nick Du Toit and former SAS member Simon Mann tried to overthrow the tyrannical Obiang Nguema, president of Equatorial Guinea. They were working for investors, allegedly including Mark Thatcher and "J.H. Archer", who wanted to seize control of Africa's third largest oil producer. Roberts tells how the coup was set up and abandoned at the last minute, and how the plotters were seized and subsequently tortured. The new material includes an account of Mann's illegal abduction from prison in 2008; his dramatic trial, in which he accuses named individuals, including Thatcher, of being deeply involved in the plot; Thatcher's fears of "extraordinary rendition" to Equatorial Guinea; and Eli Calil's revelatory admission that he supported forced regime change in Equatorial Guinea.
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Civil resistance, especially in the form of massive peaceful demonstrations, was at the heart of the Arab Spring-the chain of events in the Middle East and North Africa that erupted in December 2010. It won some notable victories: popular movements helped to bring about the fall of authoritarian governments in Tunisia, Egypt, Libya and Yemen. Yet these apparent triumphs of non-violent action were followed by disasters--wars in Syria, anarchy in Libya and Yemen,reversion to authoritarian rule in Egypt, and counter-revolution backed by external intervention in Bahrain. Looming over these events was the enduring divide between the Sunni and Shia branches of Islam.Why did so much go wrong? Was the problem the methods, leadership and aims of the popular movements, or the conditions of their societies? In this book, experts on these countries, and on the techniques of civil resistance, set the events in their historical, social and political contexts. They describe how governments and outside powers--including the US and EU--responded, how Arab monarchies in Jordan and Morocco undertook to introduce reforms to avert revolution, and why the Arab Springfailed to spark a Palestinian one. They indicate how and why Tunisia remained, precariously, the country that experienced the most political change for the lowest cost in bloodshed. This book provides a vivid illustrated account and rigorous scholarly analysis of the course and fate, the strengths and the weaknesses, of the Arab Spring. The authors draw clear and challenging conclusions from these tumultuous events. Above all, they show how civil resistance aiming at regime change is not enough: building the institutions and the trust necessary for reforms to be implemented and democracy to develop is a more difficult but equally crucial task.