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Après avoir démissionné de l'Université de Téhéran sous la pression des autorités iraniennes, Azar Nafisi a réuni pendant deux ans, dans l'intimité de son salon, sept étudiantes pour y lire Nabokov, Fitzgerald, Austen... Ce livre magnifique est le portrait brut et déchirant de la révolution islamique en Iran. La démonstration magistrale que l'imagination bâtit la liberté.
" Un livre captivant. Il explore avec ferveur et conviction le pacte tacite existant entre l'écrivain, le livre et le lecteur. Tous les lecteurs devraient lire ce livre. "
Margaret Atwood
Traduit de l'anglais
par Marie-Hélène Dumas -
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"Faut bien le reconnaître, ce livre m'a énervé. Moi aussi, j'ai fait des polars : j'ai encore la série complète sur mon étagère ; je les donne presque tous pour avoir pondu les aventures du type qui se retrouve un matin dans un cimetière de San Francisco avec quatre noirs pleins de rasoirs autour de lui, une mère grondeuse qui l'accuse d'avoir tué son père à l'âge de quatre ans avec une balle en caoutchouc, qui possède en prime un cadavre dans le réfrigérateur et, dans la tête, suspendus, tous les jardins de Babylone, là même où Smith Smith, le plus grand joueur de base-ball de tous les temps, se bagarre contre les ombres-robots et les cristaux à mercure.
Big Brautigan" Claude Klotz, 1981.
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" avec l'elu, chaïm potok a écrit un des plus beaux romans de ces dernières années.
ii faut lire une centaine de pages pour entrer dans la magie de cette communauté juive new-yorkaise où hassidiques et sionistes vivent ensemble et se détestent. a l'occasion d'un match de base-ball, deux adolescents exceptionnels des deux communautés vont devenir amis et surmonter les obstacles. tout y est : la tendresse du père, l'amitié plus forte que la mort, la connaissance source de vie. on se prend même à se passionner pour les querelles théologiques du talmud.
" le figaro.
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Asher Lev est un jeune hassidim de Brooklyn. Dès l'enfance, Asher dessine comme il respire. Son père, totalement voué à la condition de son peuple, est consterné de voir son fils unique s'écarter d'une tradition religieuse héroïque pour se livrer aux sottises de l'Art. Heureusement pour Asher, le grand Rebbe qui dirige la vie de ses parents le comprend mieux qu'eux. Il le confie au célèbre peintre Jacob Kahn qui devient son maître. Asher travaille alors aux exigences académiques du peintre. Il peint des nus, des vierges, des crucifixions... tout ce que son père déteste et redoute. La rupture avec ses parents sera inévitable.
Un roman magistral qui relate la vie d'un petit juif de Brooklyn déchiré entre son aspiration à devenir un grand peintre et les traditions religieuses de sa communauté.
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" l'enfant du danube ", c'est béla, orphelin idéaliste et débrouillard livré à lui-même dans la hongrie des années 1920.
abandonné par sa mère dès sa naissance, c'est auprès d'une vieille prostituée qu'il ne tarde pas à découvrir la rudesse de la vie et les tourments de la faim. a quatorze ans, il quitte son village pour budapest : il n'a rien à perdre et peut-être sa mère l'y attend-t-elle. garçon d'hôtel exposé aux lumières et aux turpitudes de la capitale, il y fera alors l'apprentissage de l'amour et de la vie...
dans cette fresque émouvante et enlevée qui épouse le destin d'une nation meurtrie, on reconnaît aussi la jeunesse de jànos székely, qui, comme béla, vécut d'amour et de politique, d'espoirs fous et de rêves d'amérique.
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A deux pas de Buckingham Palace, où les chiens sont mieux nourris que lui, Ripley Bogle, sdf irlandais de vingt et un ans, remâche les détails sordides et flamboyants de sa brève existence. La faim, la crasse et le froid sont ses seuls compagnons. Né à Belfast, d'une mère prostituée et d'un père chômeur, poivrot professionnel, Ripley manifeste des dons précoces : enfant surdoué puis tombeur notoire, il oscille constamment entre la déchéance et la gloire, les bas-fonds de Belfast et la prestigieuse université de Cambridge.
Ce premier roman d'un très jeune écrivain irlandais est à la fois un hymne lyrique à la ville et un acte de rébellion, un voyage au bout de la nuit londonienne et une grande aventure romanesque sur laquelle planent les ombres tutélaires de Charles Dickens et de George Orwell.
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" L'apport de Tennessee Williams (1911-1983) au théâtre du XXe siècle est de toute première importance ; si ses pièces ont marqué notre répertoire, ce n'est pas tant par leur construction, d'une facture classique, d'une rigueur très racinienne, que par les thèmes abordés : jamais dramaturge n'avait conduit le spectateur si loin dans l'introspection douloureuse, l'analyse méticuleuse de la difficulté de sauvegarder son identité, de survivre en société, quand les autres sont à la fois si proches et si menaçants. " Eric Lamien, Page.
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" J'ai examiné des petits bouts de mon enfance.
Ce sont des morceaux d'une vie lointaine qui n'ont ni forme ni sens. Des choses qui se sont produites comme des poussières. " Quand ce recueil a paru aux États-Unis, Brautigan avait à peine plus de trente-cinq ans, parvenu " à mi-chemin ", au lieu et temps des bilans, peut-être, et des nostalgies. Aucun autre livre de Brautigan n'est aussi chargé du lyrisme des souvenirs d'enfance, ni aussi marqué de cette sereine fraîcheur, exempte de toute complaisance, dont il est toujours tant loué.
Ces soixante-deux courts textes, qu'on hésite à appeler nouvelles, sont autant de petites victoires sur les ruses du sort et du temps, et sur soi-même, une succession d'instants privilégiés où l'étrange impassibilité du conteur réalise l'alliance tranquille du malheur et de la blague, jusqu'à ce que telle révélation finale, en forme d'envoi, dissipe l'apparente légèreté du rien, une manière de réconciliation, enfin, avec ses propres amertumes, avec une société américaine en échec, avec l'absurde et le dérisoire de l'univers.
M. -C. A. , 1984.
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