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Bandes dessinées / Comics / Mangas
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J'aurais adoré être ethnologue (tome 2)... décrit de façon humoristique les aventures parentales, professionnelles de Margaux Motin : cette trentenaire doit mener de front sa vie de femme mariée à un fan de jeux vidéo qui ne comprend décidément rien à la mode, son rôle de jeune maman d'une petite fille adorable mais envahissante, et sa carrière d'illustratrice freelance décontractée mais désespérément solitaire. La chronique tendre et drôle d'une femme moderne...
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Ce livre décrit de façon humoristique les aventures parentales, professionnelles et "modesques" de Margaux Motin.
Cette trentenaire doit mener de front sa vie de femme mariée à un fan de jeux vidéo qui ne comprend décidément rien à la mode, son rôle de jeune maman d'une petite fille adorable mais envahissante, et sa carrière d'illustratrice freelance décontractée mais désespérément solitaire.
La chronique tendre et drôle d'une femme moderne...
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Le quatrième mur
Eric Corbeyran, Horne, Sorj Chalandon
- Marabout
- Marabulles
- 19 Octobre 2016
- 9782501114684
« L'idée de Samuel était belle et folle : monter l'Antigone de Jean Anouilh à Beyrouth. Voler deux heures à la guerre, en prélevant dans chaque camp un fils ou une fille pour en faire des acteurs. Puis rassembler ces ennemis sur une scène de fortune, entre cour détruite et jardin saccagé. Samuel était grec. Juif, aussi. Mon frère en quelque sorte. Un jour, il m'a demandé de participer à cette trêve poétique. Il me l'a fait promettre, à moi, le petit théâtreux de patronage. Et je lui ai dit oui. Je suis allé à Beyrouth le 10 février 1982, main tendue à la paix. Avant que la guerre ne m'offre brutalement la sienne. » (Sorj Chalandon) Un texte magnifique, récompensé par 3 prix dont le Goncourt des lycéens 2013, adapté par Eric Corbeyran et mis en images par le talentueux Horne qui travaille cette fois-ci à l'encre.
« Entré comme journaliste dans les camps palestiniens de Sabra et de Chatila au dernier jour des massacres, en septembre 1982, j'ai gardé pour moi ce qu'abandonne un homme qui marche dans du sang humain. Un journaliste doit rapporter les guerres sans les pleurer. Je ne les ai pas pleurées. Alors j'emmène Georges (jeune metteur en scène français et personnage principal du roman) d'où je viens. Je lui offre mes larmes, ma colère, mes doutes. Et surtout, je l'envoie là où je ne suis pas allé, au plus loin de ce que la guerre arrache aux hommes. Le Quatrième mur est l'histoire d'un enfer. Je me suis arrêté à sa porte et je regarde Georges s'y jeter. » -
"Les pieds-noirs à la mer" est une autofiction : les protagonistes sont inspirés directement de personnes existantes ou ayant existé (notamment l'auteur/narrateur) ; même si la trame narrative est un savant mélange entre souvenirs réels et fiction réaliste. Des personnages réels, bien au-delà des modèles manichéens, leur dualité, à la fois attachants et détestables... Un narrateur en porte-à-faux, entre ses convictions et celles des membres de sa famille. La forme garde néanmoins un caractère humoristique, dans les situations, les caractères et dialogues des protagonistes.
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Concombres amers ; les racines d'une tragédie, Cambogde 1967-1975
Séra
- Marabout
- Marabulles
- 19 Septembre 2018
- 9782501114745
Ce récit graphique raconte, depuis les années 60, la montée tragique qui va conduire au génocide Khmer, depuis la fuite du prince Sihanouk en 1969 jusqu'à la prise de Phnom Penh le 17 avril 1975.
Un gamin emprunte un sentier interdit. Il s'enfonce dans la végétation et il voit les pendus dans les arbres. Ce gamin, c'est Séra, il a neuf ans. En 1975, ses parents et leurs trois enfants sont expulsés par les Khmers rouges. Phnom Penh est tombé, Pol Pot arrive. Son père khmer, est expulsé de l'enceinte de l'Ambassade de France où la famille a trouvé refuge ! Séra est alors âgé de quatorze ans. Il est encore trop tôt pour qu'il puisse raconter la vie « d'avant ».
Séra sait parfaitement que les mots seuls sont bien faibles pour dénoncer cette violence, cette barbarie. De plus, les mots laissent la place à une zone floue où le « sacro-saint » imaginaire du lecteur risque de s'engouffrer et de l'emmener bien loin de la réalité...Il n'en est pas question ! C'est pourquoi l'image s'impose.
Préface par Tardi -
Chadia Chaibi Loueslati signe ici son premier roman graphique.
Elle raconte l'histoire de sa famille et de ses parents, le Daron et Omi, qui ayant quitté la Tunisie, sont venus s'installer en France dans les années 1960.
C'est une saga familiale, la découverte d'un pays et de toutes ses bizarreries culturelles et administratives au travers de l'épopée d'une famille immigrée.
La ténacité et le courage, l'humour et la chaleur de cette famille nombreuse, le talent de l'auteure font de ce livre une oeuvre originale et passionnante. -
Bienvenue dans la riante région du « Ça va, c'est bon, tu peux pas comprendre ».
Entre excès de sébum, hormones à tout va, dialecte imbitable, odeurs douteuses, bordéliquemania et malbouffe, on comprend que le séjour fasse flipper.
Pas de panique ! Ce passage obligé ne dure en général deux voir trois petites années.
Kiffe ta life t'as un ado raconte le quotidien de deux familles avec 1 ado fille et 1 ado garçon, autant dire que Alexandra Brijatoff offre une vue à 360° sur l'adolescence.
Kiffe ta life, t'as un ado est finalement un guide de survie pour tout parent ou pour toute personne désireuse de mieux les comprendre. Les situations sont drôles, fines, bien vues. Alexandra les décrypte avec bienveillance et humour. -
40 ans, c'est pas vieux pour un arbre
Alexandra Brijatoff, Claire de Procé blanchard
- Marabout
- Marabulles
- 2 Avril 2014
- 9782501081054
À chaque âge, ses plaisirs... mais certains ont parfois un goût amer.
Plutôt que de se lamenter sur leur sort, les deux héroïnes de cet album haut en couleur ont choisi d'en rire. Car la quarantaine est un âge épatant, et la quadragénaire une héroïne des temps modernes. Entre les enfants, les copines, le boulot et Jean-René à gérer, mais aussi humeurs de gamine et sagesse de femme mûre, la quadra trace sa route. Qui l'aime la suive ! Claire et Alexandra croquent avec humour la crise de la quarantaine mais toujours avec tendresse et autodérision.
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A 27 ans, Riad Sattouf, traumatisé par ses années de collège, décide de retourner en 3 e.
Mais pas n'importe où : chez les riches. Le jour de son arrivée, le principal prévient : " Dans mon établissement, vous n'entendrez pas beaucoup de "nique ta mère" ". Raté. L'élève Sattouf a tout vu, tout entendu. Et il en sorti avec une certitude : les adolescents des beaux quartiers sont loin d'être des enfants sages...
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Les Carnets de Joann Sfar arrivent chez Marabout !
Chaque jour, Joann Sfar écrit et dessine. Ce qui constitue un journal intime raconte sa vie personnelle et les événements de l'époque qu'il traverse. Sfar mêle, suivant les années et les événements, l'intime et l'universel, questions politiques et de société. C'est ainsi que ses carnets se succèdent depuis 2002. Ce carnet retrace six mois d'une psychanalyse, entamée à la suite d'une rupture amoureuse ; Sfar va mal et ne peut plus dessiner. Il s'achève avec la fin de ce travail et le retour à un état apaisé.
Les deux précédents carnets Si Dieu existe et Je t'aime ma chatte sont parus l'année dernière chez Delcourt. -
Cette fiction prend naissance dans la résistance du ghetto de Varsovie qui aboutira à la révolte d'avril 1943.
Elle s'appuie sur l'histoire d'Emmanuel Ringelblum, militant social et politique, homme de sciences qui entrepris la rédaction collective d'un journal, arme de résistance, dissimulé des dans bidons de lait enfouis sous terre.
Ces archives, 27 000 pages et documents rassemblés en 1669 dossiers, retrouvés en 1946 et 1950, dites « archives Ringelblum » font aujourd'hui partie du Patrimoine Mondial de l'Unesco.
Le personnage central, l'historien Emmanuel Blum, décide de rester à Varsovie bien qu'il ait les moyens de fuir la Pologne ; il veut sauver de la destruction, avec ses amis du collectif Oyneg Shabbos, des millions de témoignages écrits qui racontent l'histoire des habitants du ghetto. Ils sont traqués par les nazis qui ont appris l'existence du collectif.
Parmi les archives, il y a le journal d'une jeune fille Inge Perlmann qui raconte aussi celle de son ami Jonasz, coursier dans le ghetto qui après avoir sauvé une enfant, devient passeur d'armes......
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Ceci est l'histoire fictive d'Umberto Cavaletti, réalisateur du cinéma populaire italien, à la production foisonnante et hétérogène embrassant une période prospère des 50 jusqu'aux années 80. C'est l'histoire d'un grand technicien et d'un grand conteur. Il s'agit de la chronique des insuccès et des amours d'un homme qui restera comme un des fantômes de Cinecittà accédant beaucoup trop tardivement à la reconnaissance.
Qu'Umberto Cavaletti ait existé ou non n'est pas l'essentiel. A travers lui, ce sont des cinéastes de cinéma de genre, de séries B ou de séries Z, de western-spaguetti, des faiseurs, des artisans tels que Lucio Fulci, Sergio Solima, Joe D'amato, Bruno Mattei ou encore Sergio Corbucci qui sont mis en lumière.
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Icône du mouvement folk des années 1960, Woody Guthrie est né en 1912 en Oklahoma. C'est une figure emblématique de la musique populaire américaine.
Après une enfance marquée par d'innombrables tragédies, Woody doit, dès l'adolescence, vivre de ses talents de musicien, en jouant dans la rue.
Chassé par la misère, il s'installe en Californie au début des années 30 où il acquiert son statut de chanteur contestataire en s'opposant aux milices des entreprises fruitières de l'État . Sa réputation d'agitateur lui vaut nombre de démêlés avec la police et la justice. Dans cet esprit, il compose une ballade en l'honneur de Tom Joad, le héros des raisins de la colère de John Steinbeck dont il partage les combats.
Dust Bowl Ballads, enregistré à New York en 1940 est son plus célèbre album. A cette époque, il emménage à New York où il s'impose comme le plus fameux « Protest Singer »de Greenwich Village.
Il décède le 3 octobre 1967, vaincu par la maladie de Huntington.
Son folklore protestataire a exercé une influence majeure sur des artistes comme Bob Dylan, Joan Baez ou Bruce Springsteen.
Ce magnifique album est une biographie romancée de la vie de Woody Guthrie, un homme engagé, un poète, mais surtout le plus grand songwriter de tous les temps.
Nick Hayes, son auteur, vit dans l'est de Londres. Il a commencé sa carrière comme dessinateur politique dans le quotidien « The Guardian ».
Plusieurs fois primé pour ses romans graphiques, il est aujourd'hui l'un des meilleurs auteurs de BD, outre-manche.
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Fissa, papa... de la cité au bled, du bled à la cité
Amazing améziane
- Marabout
- 11 Octobre 2017
- 9782501122276
CLICHY-SOUS-BOIS, octobre 2005, les émeutes embrasent la cité, OMAR, 19 ans, remplit un sac de sport de divers outils à jeter sur la police. Arrestation, Comparution immédiate :
2 ans ferme assortis d'une reconduite à la frontière. OMAR va devoir s'adapter à sa nouvelle vie en ALGÉRIE.
FISSA, PAPA... est une histoire sur la recherche de ses origines et de ce qui nous définie comme Français. C'est aussi la quête du père et de soi-même.
À travers les histoires et légendes familiales, OMAR va apprendre qui était son père, et peut-être trouver sa place.
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Différentes tailles de "post-it" aux couleurs diverses pour penser à tout
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4 carnets pique metal reliés par un anneau
Margaux Motin, Largier
- Marabout
- 25 Août 2010
- 9782501065146
Voici 4 jolis carnets reliés entre eux par une chaînette à emporter partout avec soi ! Notez toutes les choses à faire pour votre famille, vos amis, votre maison et...pour vous ! Chaque carnet peut vivre séparément.
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Recomposer une famille, c'est un peu comme reconstituer un puzzle avec des pièces dépareillées. Ça ressemble à quelque chose, mais on ne sait pas toujours à quoi. Le narrateur de "Famille recompose-toi" ! le sait bien. Hier, il était père célibataire et bobo parisien. Aujourd'hui, il vit en province avec sa famille recomposée : son fils Basile, sa fiancée Mathilde et la fille de cette dernière, Camille. Entre le narrateur, Mathilde, Basile et Camille, la belle entente n'a rien de spontanée : elle est le fruit d'un long travail, un équilibre complexe qu'un seul grain de sable peut soudain enrayer. Et si les voisins sont toujours là pour donner des conseils, ou recoller les morceaux, ils peuvent aussi mettre parfois de l'huile sur le feu. C'est drôle, élégant, souvent subtil, toujours innervé de sociologie gracieuse et ça se dévore comme du Sempé.
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Pas facile d'être au chômage. Il faut arracher aux autres chercheurs de boulot la dernière offre d'emploi apparue, résister à l'appel du canapé-télé qui titille votre côté dépressif, ou encore, échapper aux stages non rémunérés, aux emplois précaires et aux patrons sans scrupule. Bref, être chômeur est un parcours du combattant... Surtout pour Constantin, un jeune rouquin particulièrement mou et désespérément feignant. En imaginant ce looser attachant, Jibé espérait exorciser les démons du chômage. Il trouvera autre chose : le succès sur la toile.
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« Le journal d'une emmerdeuse » est issu d'un blog créé en 2011 par Augustina Guerrero, une jeune dessinatrice argentine vivant à Barcelone. « L'emmerdeuse » est une trentenaire sympathique, immature et complexée. Petit bout de femme, toujours vêtue de son pull à rayures, elle nous fait partager le quotidien de sa vie de couple avec humour et tendresse. Si l'autodérision est au rendez-vous, il n'y a jamais de méchanceté gratuite. Ce journal intime et autobiographique est illustré avec un talent graphique qui n'est pas sans rappeler la poésie du trait de Quino, le génial créateur de « Mafalda ». 30% des illustrations composant cet album sont inédites et n'ont jamais été publiées sur le blog.
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La vie de palais : Jessica Chaillette, avocate à mi-temps
Richard Malka, Catherine Meurisse
- Marabout
- Marabulles
- 8 Octobre 2014
- 9782501099530
Les déboires de Jessica Chaillette collaboratrice dans un cabinet d'avocats... une jeune avocate exploitée par son patron, mal payée, qui attend vainement la gratitude de ses clients et dont la vie personnelle part à vau-l'eau. mais qui a encore quelques idéaux !
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« Un couple à croquer » est un livre à l'humour subtil qui met en scène la vie quotidienne et la connivence d'un jeune couple qui à décidé d'emménager ensemble.
Les deux personnages principaux, « Croquette » et « Chausson », sont les seuls protagonistes de cette série représentés de façon anthropomorphique.
Ils vivent et évoluent au milieu des humains.
Les histoires courtes qui constituent cet album sont poétiques, sensibles et décalées. Elles peuvent se lire et se relire dans n'importe quel ordre.
Elles sont toutes issues du blog de l'auteur.
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Le premier monde, en opposition au tiers monde, est constitué par l'ensemble des pays dits « développés » ou « favorisés ».
Pour ceux qui vivent, comme nous, dans le premier monde, les petits problèmes quotidiens sont souvent futiles et dérisoires au regard des événements parfois dramatiques qui se déroulent sur terre.
Laura Pacheco, jeune dessinatrice de 30 ans, a pris le parti de mettre en exergue, avec humour et élégance, le ridicule des situations cocasses qui rythment nos existences. Il est donc tout naturel de s'identifier immédiatement au personnage principal de cet album autobiographique et de sourire de ses petites turpitudes.
La majeure partie des histoires qui composent cet ouvrage a été prépubliée sur le blog de l'auteur mais également dans le supplément mode du quotidien espagnol « El Pais ».
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Qui peut penser que l'art et l'humour ne faisaient pas bon ménage ?
Critique d'art, Clo'e observe les oeuvres depuis des années ; dans ce livre, c'est notre regard sur l'art, nos questions, nos tentatives d'explications, d'analyse qu'elle explore avec humour et finesse.
Pourquoi va-t-on au musée, quel plaisir avons-nous, quel snobisme nous étreint parfois, quelle stupidité aussi. Les dessins de Clo'e nous font sourire et réfléchir et donnent ainsi une légèreté joyeuse à la critique d'art.
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La BD qui va faire du bruit ! Illustratrice, blogueuse, coquette, écolo, végétarienne, lesbienne, maman, engagée... Autant d'étiquettes différentes qui collent à la peau de Muriel Douru, mais qui, quoi qu'en disent la société, ses codes et ses lois, peuvent coexister sans problème ! A partir de son expérience personnelle, des témoignages de son entourage, Muriel Douru dénonce les clichés qui tendent à faire croire que les lesbiennes sont toutes des garçons manqués, ou que les féministes n'aiment pas les hommes ; elle dénonce les actes homophobes, gratuits et liberticides qui pourrissent le quotidien de beaucoup, elle s'insurge contre le décalage existant entre les idées et la réalité, notamment en terme de PMA, et bien d'autres choses encore.
Pour elle, un objectif : faire changer le regard des gens sur l'homosexualité : un sujet majeur, car elle concerne toutes les familles, y compris celles qui ont manifesté contre le mariage pour tous !Une parution qui tombe à pic : 17 mai 2016 est la journée mondiale de lutte contre l'homophobie.