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Né en 1890, sensible au formalisme de l'Ecole de Vienne, particulièrement attaché à l'autonomie des arts figuratifs telle qu'elle s'exprime chez Adolf von Hildebrand, Roberto Longhi sera, pour un temps, séduit par la démarche de Giovanni Morelli, l'amènera à s'intéresser alors aux études sur les peintres italiens de la Renaissance de Bernard Berenson.
Né en 1890, formé à l'école d'Adolfo Venturi, sensible au formalisme de l'Ecole de Vienne, particulièrement attaché à l'autonomie des arts figuratifs telle qu'elle s'exprime chez Adolf von Hildebrand, Roberto Longhi sera, pour un temps, séduit par la démarche de Giovanni Morelli, qui le conforte dans sa volonté d'examiner les oeuvres en elles-mêmes, et l'amènera à s'intéresser alors aux études sur les peintres italiens de la Renaissance de Bernard Berenson.
Se tenant d'une certaine façon " en marge ", et infiniment respecté, Roberto Longhi- par goût sincère autant peut-être que par son talent pour la polémique -, se singularisa par la largeur de ses vues, s'intéressant tant à Cimabue qu'à Nicolas de Staël.
Pour Roberto Longhi, le Caravage fut certainement le premier des peintres " modernes ". Dès 1926, il lui consacre une analyse inaugurant une réflexion née du refus de l'art considéré comme illustration, c'est-à-dire comme littérature figurée. En témoignent les textes composant notre volume et formant un ensemble cohérent traitant à la fois du Caravage, de ses antécédents, de son influence, de même que des échos de son oeuvre dans la peinture française.
De ces textes essentiels, seul le deuxième de notre édition - le Caravage- a été publié en langue française, en 1968. Ouvrage depuis longtemps introuvable dans lequel l'aspect polémique de Longhi avait été gommé. -
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Sillage Tome 1 : à feu et à cendres
Jean-David Morvan, Philippe Buchet
- Regards D'Enfants
- 1 Décembre 2005
- 9782351880081
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" Élève lointain de Poussin et de Champaigne, formé par sa passion pour Seurat et Cézanne, Hélion régénère, dans le contexte d'après-guerre, l'esthétique formaliste et l'idée hédoniste de la tradition française ". Henry-Claude Cousseau définit ainsi cet artiste.
" Élève lointain de Poussin et de Champaigne, formé par sa passion pour Seurat et Cézanne, Hélion régénère, dans le contexte d'après-guerre, l'esthétique formaliste et l'idée hédoniste de la tradition française ". Henry-Claude Cousseau définit ainsi cet artiste qui, après s'être exercé à l'abstraction, après avoir participé à la création du groupe et de la revue Art Concret, puis à Abstraction-Création, en revient à la figuration. Dès fin 1942, quelques éléments figuratifs apparaissent pour aboutir, dix ans plus tard, à la phase la plus déconcertante de son oeuvre, qu'il qualifiait lui-même " d'effort d'exprimer tout par le contact serré avec l'objet. Effort d'inclure l'apparence dans l'essence ".
Ainsi naîtront les " mannequineries ", " les journalerie "... puis à la fin de sa vie, les " suites pucières ". Faut-il évoquer le chapeau, le parapluie, le gant, la citrouille... qui, dans l'esprit de tous, symbolisent le travail de cet homme qui en 60 ans d'activité a " exploré tout ce qu'une très vive intelligence, une capacité avide et immense de voir et de juger auront pu apporter à un artiste dont le choix s'est porté sur la peinture, en raison de sa pente avide et merveilleuse ".
Par une iconographie abondante soutenant le texte d'un grand spécialiste, ce livre est la version poche de la monographie consacrée à Hélion par les Éditions du Regard en 1992. Un ouvrage essentiel qui permet de juger la logique complexe mais inflexible qui mène au développement de cette oeuvre. -
La création de Louis Sognot (1892-1969) s'épanouit sur plusieurs périodes de l'histoire du style du mobilier. D'abord imprégné des techniques traditionnelles par sa formation et son passage au faubourg Saint-Antoine chez Krieger. Jeune, il participe à l'étonnante aventure des ateliers d'art du Printemps : Primavera fondé par René Guilleré en 1912
La création de Louis Sognot (1892-1969) s'épanouit sur plusieurs périodes de l'histoire du style du mobilier. D'abord imprégné des techniques traditionnelles par sa formation et son passage au faubourg Saint-Antoine chez Krieger. Jeune, il participe à l'étonnante aventure des ateliers d'art du Printemps : Primavera fondé par René Guilleré en 1912. Personnalité qui compte en ce début de XXème siècle, il est à l'origine de la société des Artistes décorateurs en 1901. Entre 1920 et 1929 Louis Sognot collabore chez Primavera à la réalisation des projets de Guilleré, des ensembles pour des intérieurs modernes selon les principes édictés par Guilleré pour qui " La forme détermine le décor ", ils seront remarqués à la SAD et au salon d'Automne. Ce style annonce " l'art déco " pour un public plus modeste. Encouragé par Primavera, en 1926, il propose pour la première fois du mobilier en métal se rapprochant ainsi des acteurs du mouvement moderne, René Herbst, Charlotte Perriand, Pierre Chareau. En 1929, il quitte Primavera pour rejoindre l'UAM (Union des artistes modernes). Associé pendant quatre années avec Charlotte Alix, ils se distinguent par des réalisations remarquables, pour les laboratoires Roussel ou le Maharadjah d'Indore. Dès lors il appartient à l'avant-garde et participe activement au mouvement en explorant de nouveaux matériaux et il reprend son indépendance. Après la Seconde Guerre mondiale il se passionne pour le rotin, un choix qui le place au-devant de la scène. Une technique à la fois économique, organique et rationnelle. Le Salon des Arts ménagers s'impose afin de faire découvrir cette nouvelle tendance.
Excellent pédagogue, il enseigne dans diverses écoles (Boulle, Duperré, école des Arts décoratifs). Il collabore avec de nombreux éditeurs pour le rotin, et avec des éditeurs plus traditionnels dont la société dirigée par Maurice Rinck, avec laquelle il coopère dix années. Sa relation avec le créateur de luminaires Serge Mouille sera idéale. -
Dans cette monographie, l'unique consacrée à ce jour à Anselm Kiefer, Daniel Arasse s'applique à démontrer le processus de sédimentation, de réélaboration de thèmes qui circulent, s'entrecroisent et se superposent en un véritable " labyrinthe kieferien ".
Dans cette monographie, l'unique consacrée à ce jour à Anselm Kiefer, Daniel Arasse s'applique à démontrer le processus de sédimentation, de réélaboration de thèmes qui circulent, s'entrecroisent et se superposent en un véritable " labyrinthe kieferien ". La dimension historique et politique de l'oeuvre de Kiefer passionne Arasse et plus particulièrement son statut d'artiste allemand né avant l'achèvement de la guerre. Position à laquelle l'artiste consacra une rare énergie afin de démêler l'écheveau consistant à analyser les possibilités de l'acte créer après l'holocauste. Car à l'instar d'autres artistes allemands mais avec davantage de conscience et d'obstination, Kiefer a questionné son héritage de peintre en révélant les éléments iconographique et mythologique de la culture allemande. Arasse lève le voile et désigne l'oeuvre en tant qu'instrument qui transforme les actions ou les architectures en leur permettant d'entrer dans le " théâtre de la mémoire individuelle et collective, au lieu d'agir pernicieusement dans le refoulement de leur souvenir. " Au fil des pages, Daniel Arasse examine les multiples facettes d'une oeuvre à la portée universelle, qui sait prendre en compte l'Histoire, les mythes germaniques, grecs, assyriens... la religion, les femmes, la poésie, la mystique juive, en des tableaux, sculptures, livres aux dimensions et à la matière exceptionnelle, avec une prédominance pour le plomb, dont la contemporanéité est indissociable du classicisme. -
Ce livre est la version " poche " de la première monographie consacrée à Balenciaga par les Éditions du Regard en 1988. Marie-Andrée Jouve, alors responsable des archives de la maison Balenciaga réalisa à l'aide d'une documentation exceptionnelle un ouvrage inégalé à ce jour sur le maître incontesté de la haute couture.
Ce livre est la version " poche " de la première monographie consacrée à Balenciaga par les Éditions du Regard en 1988. Marie-Andrée Jouve, alors responsable des archives de la maison Balenciaga réalisa à l'aide d'une documentation exceptionnelle un ouvrage inégalé à ce jour sur le maître incontesté de la haute couture.
Elle fut à l'origine de sa redécouverte par une série d'expositions prestigieuses, entre autres : Balenciaga, Musée des textiles de Lyon ; Balenciaga, F.I.T. New-York.
Secret, Cristobal Balenciaga le fut incontestablement, mais s'il ne nous livra que très peu de lui-même, de sa vie privée ou de ses choix artistiques, ceux-ci transparaissent dans son oeuvre exigeante, parfois proche de la sévérité et dans laquelle culmine le raffinement de ses inspirations. De l'ampleur et des drapés de la peinture de Zurbaran, Balenciaga réinvente des robes, des manteaux et des capes dont chaque volume, chaque plis, atteint l'expression même de l'austère élégance espagnole. La perfection de sa technique lui permettant de satisfaire son goût pour l'infiniment dépouillé et d'obtenir des vêtements dont la coupe parfaite s'alliant à la somptuosité des étoffes, évoquent des architectures proches de l'abstraction.
Ses plus belles créations (1937 - 1968) nous sont offertes ici à travers une iconographie inédite par les plus grands photographes de son temps qui, en reconstituant son oeuvre, gardent intact le mythe. -
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La vie d'une meute de loups racontée au fil des pages.
De photographies en aquarelles, Yves Fagniart et Olivier Larrey, retracent leur histoire avec les loups. Ils mettent en lumière les plus belles observations faites durant 80 jours en affût au coeur de la Taïga finlandaise. Ainsi, de jour en jour, ils ont pu observer la meute dans toutes sortes de comportements : liens entre générations, jeux fraternels, prédation, dans les somptueux décors de la grand forêt boréale où l'hiver dure 6 mois. Leur aventure, découpée en cinq missions, est relatée avec la grande complicité de Marie-Pierre Bey qui a recueilli leurs histoires et les a retranscrites avec ses mots.
Le film « l'affût aux loups » qui a été l'objet principal de toute cette aventure (coproduction : Arté France, le cinquième rêve, Belgica films), raconte la quête des deux artistes, le livre restitue le fruit de leurs nombreuses observations.
Environ 100 photographies et 70 aquarelles et dessins sont rassemblés dans cet ouvrage. -
Ce livre est la première monographie consacrée au duo d'architectes d'intérieur Philippon Lecoq.
Le bureau d'étude d'Antoine Philippon et Jacqueline Lecoq s'impose de 1955 à 1995. Tout au long de la période des Trente glorieuses , ils imposent une pratique exigeante qui concerne l'architecture intérieure, la scénographie d'exposition, le design industriel, l'enseignement.
Le bureau d'étude d'Antoine Philippon et Jacqueline Lecoq s'impose de 1955 à 1995. Tout au long de la période des Trente glorieuses , ils imposent une pratique exigeante qui concerne l'architecture intérieure, la scénographie d'exposition, le design industriel, l'enseignement. Ils participent aux salons nationaux et internationaux, se faisant reconnaitre pour leur militantisme professionnel et la défense d'une profession en devenir. Ils exposent au Salon des artistes décorateurs, au Salon des arts ménagers, à l'exposition internationale de Bruxelles en 1958, à la Triennale de Milan et dans de nombreuses manifestations d'importance. Ce livre rend hommage aux industriels qui les ont soutenus dans l'élaboration de leurs multiples projets produits en série, favorisant leur exploration de nouveaux usages et de nouvelles techniques : en France : d'Henry Mouraux à Airborne, le Mobilier national, Formica et les Glaces de Boussois. A l'étranger, en Allemagne en particulier : Bofinger, Erwin Behr, Lauser, etc. Leurs réalisations se distinguent par un ancrage dans la durée, un engagement sans concessions. Ce livre est la première monographie consacrée au duo d'architectes d'intérieur Philippon Lecoq. -
Pyrénées majestueuses : Images et poésie
Christian Partinico
- Un Autre Regard
- 14 Octobre 2023
- 9782900803684
Christian PARTINICO parcourt ses Pyrénées au gré des sentiers de randonnée, d'est en ouest et du nord au sud et partage avec ses lecteurs sa passion de la montagne, de ses coins secrets, de sa majestueuse nature, tellement changeante en fonction des saisons.
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Cédric Tome 14 : au pied, j'ai dit !
Raoul Cauvin, Laudec
- Regards D'Enfants
- 1 Janvier 2002
- 9782351880074
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La guillotine malgré moi : Mémoires du docteur Guillotin
Alexandre Bensi
- Regards
- Histoire Et Societe
- 7 Mai 2024
- 9782379391330
Joseph Guillotin mourut le 26 mars 1814 sans être parvenu à faire oublier le nom de guillotine auprès de la population française. Ses Frères du Grand Orient notamment de la Loge Les Neufs Soeurs, le pleurèrent autant que sa veuve et sa famille. Il fut enterré en toute simplicité au cimetière du Père Lachaise, à Paris. Sur sa pierre tombale était inscrit: Vir Integrus (trad. Homme intègre). Aujourd'hui, sa tombe a disparu.
La guillotine, l'un des plus célèbres "symboles" de la
Révolution française, a évidemment un inventeur. Beaucoup pensent qu'il s'agit du docteur Guillotin, puisque son nom a servi à nommer la machine. L'histoire est bien plus complexe que cela et le principal intéressé veut le faire savoir.
A la fin de sa vie, alors que le Premier Empire est sur
le point de tomber, le docteur Guillotin veut se
raconter.
A travers ses mémoires quelque peu romancées dans un souci littéraire, l'ancien député et un des cofondateurs du Grand Orient de France, tient à dire sa
vérité : son action en tant que médecin avant la
Révolution, ce qu'il a apporté à la franc-maçonnerie
française et surtout expliquer ses décisions en tant
que politique au début de l'épopée révolutionnaire et
raconter son principal regret... que sa loi sur la peine
de mort ait débouché sur l'invention de la machine de
mort par excellence.
En 1814, le docteur Guillotin sent sa fin arriver. Mais
avant de mourir, il souhaite donc se justifier auprès du
peuple français, de l'Humanité et de l'Histoire. Car son
nom a été traîné dans la boue à cause de la machine
à décapiter. Lui, le docteur humaniste, le franc-
maçon épris de bienveillance, refuse d'entrer dans
l'Histoire comme étant le père d'une machine de mort
qui est devenue le symbole de la Terreur en 1793 et
1794.
De ses premiers souvenirs d'enfant, ses débuts
de médecin auprès des Grands du royaume, son
entrée en franc-maçonnerie et sa contribution à la
fondation du Grand Orient de France jusqu'à son
action politique au début de la Révolution française,
Guillotin se raconte, et en même temps, il fait une
chronique de la fin du 18e siècle.
Un ouvrage riche et passionnant quant à l'esprit de 'époque et quat aux intentions de Guillotin, qui ambitionnait une société meilleure. Il en fut bien mal récompensé. -
J'ai survécu : A la drogue, à la pédophilie et à la traite sexuelles
Maïté Lonne
- Regards
- 21 Mars 2024
- 9782379391255
Un témoignage très dur. La jeune autrice et militante Maïté Lønne se raconte sans tabous dans un livre autobiographique poignant. Entre violences intrafamiliales et abus sexuels, elle vivra en vase clos et la peur constante d'être tuée. Dès le début de l'adolescence, c'est la dégringolade, entre autodestruction, les hôpitaux psychiatriques, les foyers de l'aide à l'enfance, la drogue, la rue et les viols multiples. Tout se passe surtout en Belgique. Elle est victime de traite des êtres humains dans un réseaux d'exploitation sexuelle. Pendant cette période, elle est vendue sur des sites lambdas tels que "2eme main" entre deux tables. Elle est livrée dans des hôtels de passe, chez des particuliers violents et dans des clubs. Violée, menacée d'une arme à feu, frappée, abandonnée la nuit sur le bord d'une route, elle survira.
La jeune femme raconte les difficultés liées aux trauma complexes, à ses multiples rapports au monde et à son corps, qui fut un objet de déviants.
Laissons parler l'auteure:
(...) d'un père norvégien alcoolique, drogué, schizophrène et artiste peintre, et d'une mère belge, danseuse, d'origine ashkénaze, très mal dans sa peau. Vers l'âge de 8 mois, elle décide de prendre la fuite pour me protéger, en revenant dans son pays natale, la Belgique. Mes grands parents, plutôt bourgeois, autoritaires, et violents, prennent la place du père qui brille par son absence. Mon grand-père est ancien procureur, un homme ancien militaire obsédé par l'éducation et la réussite dans son sens le plus stricte. Ma grand mère est une survivante de la seconde guerre mondiale et m'apprendra à vivre dans la peur constante d'être tuée. Je vie en vase clos, enfermée par deux vieilles personnes abusives et maltraitantes.Â
Très jeune, je suis abusée sexuellement par mon cousin, et ensuite par mon beau-père. Ma mère devient violente physiquement. Mes grands parents sont violents psychologiquement. Vers l'âge de 13 ans je suis placée en unité psychiatrique suite à une tentative de suicide et des multiples automutilations. Je suis assommée à coup de calmants sans être soignée. Par la suite je suis placée dans un foyer de l'aide à l'enfance et j'y découvre la rue, les drogues, la délinquance et la violence extrême (...).Â
Points forts:
Maltraitance - Viols- traite des êtres humains - drogue - femme-objet - violences - Reconstruction
Ce qu'en dit l'Editeur:
Maïté Lønne parle à coeur ouvert, avec douleur, force et un désir extraordinaire de reconstruction. Elle s'investit dans la pédagogie avec courage et conviction. Son ouvrage donne la nausée au sujet de certains humains inhumains. Ils existent ces prédateurs, ces consommateurs, ces destructeurs. Elle l'a vécu. Elle aurait pu en mourir. Elle apprend à se réapproprier et à se régénérer. Son témoignage puisse-t-il servir à tous ces femmes victimes de monstres !
L'auteure: née à Oslo en 1992, Maïté Lønne est éducatrice. Elle navigue entre France et Belgique en vivant entre Bruxelles et Paris. Elle s'est mise à la disposition de la Commission européenne, de Child Focus en Belgique, et plaide devant différents Parlements sur des thématiques telles que l'exploitation sexuelle et les violences sexuelles. Elle a aussi représenté l'Europe lors de l'ouverture de la campagne mondiale WithHer initiée par les Nations-Unies et Spotlight Initiative (USA). Elle a publié un ouvrage sur les Maltraitances faites aux humains et aux animaux. Elle signe ici une autobiographie, le récit horrible de ce qu'elle a subi, viols, drogue, traite d'être humains, clubs de sexe, etc, et surtout l'apprentissage de sa reconstruction. L'auteure se rend également dans les écoles pour sensibiliser les adolescents aux côtés de la Fondation Samilia.
L'auteure contribue à la réalisation d'un documentaire TV qui sortira en 2024 presqu'en même temps que son livre témoin. A lire et à voir donc. -
François Barré a suivi un parcours prof. atypique marqué par le souci constant de la chose publique, le faisant passer de l'ENA au ministère des Affaires étrangères et de l'équipe chargée du Centre Beaubourg à son licenciement en 1976 puis 20 ans plus tard, président du Centre devenu Pompidou. Radié de la fonction publique à sa demande, il n'a néanmoins jamais cessé d'oeuvrer
François Barré a suivi un parcours professionnel atypique marqué par le souci constant de la chose publique, le faisant passer de l'ENA au ministère des Affaires étrangères et de l'équipe chargée de la programmation du futur Centre Beaubourg à son licenciement en 1976 et, vingt ans plus tard, à sa nomination comme président du même Centre devenu Pompidou. Radié de la fonction publique à sa demande, il n'a néanmoins jamais cessé d'oeuvrer, au gré de multiples rencontres, pour des instances publiques ou privées porteuses d'une aptitude au bien commun : Bordeaux, Centre de création industrielle, L'Architecture d'aujourd'hui, Renault, La Villette, ministère de la Culture (Délégation aux Arts plastiques, Caisse nationale des monuments historiques et des sites, direction de l'Architecture et du Patrimoine), Institut français d'architecture, Chaumont-sur-Loire, Arc en rêve, François Pinault, Rencontres d'Arles, Société du Grand Paris... Domaine Public est le récit d'une vie professionnelle menée collectivement par nombre de personnes aux compétences multiples, ignorées de l'inflation médiatique réduisant la politique culturelle à quelques noms brandis comme des marques et présentés seuls comme les inventeurs du quotidien.
" Nous sommes tous des artistes ", dit-il, et ce livre détaille les aspérités de cette mutualité, les combats et les enjouements à travers l'Histoire et ses acteurs, de François Mitterrand à Jack Lang, des grands projets et de l'exception culturelle tout autant que des " soutiers de la République " créant la trame politique et territoriale d'une France des mouvements artistiques et d'un après-68 continuant de nous interpeller ; d'un temps encore proche où les missions régaliennes de santé et d'enseignement, d'entretien de l'espace public et d'hospitalité à l'égard de tous ceux qui nous rejoignent étaient applaudies comme une part du bien commun.
François Barré garde tel un trésor le souvenir de toutes ces rencontres. Elles font entendre des voix puissantes et ouvrent des voies nouvelles. Elles furent le seuil d'une conscience et d'une action au coeur d'un engagement et leurs noms ne peuvent être dissociés de ce récit.
Nul ne peut dire " J'ai fait cela tout seul. " -
Création Pierre Vive du Patrimoine
Hubert Besacier
- Le Regard
- Monographies
- 29 Février 2024
- 9782841054305
Le travail engagé par Georges Verney-Carron est aujourd'hui réuni dans ce livre, il rend compte de son goût de la perfection, du plaisir de communiquer ses envies qui a toujours été le sien en contribuant à la beauté de la ville et au confort de ses habitants.
" Dès mes débuts en 1980, il m'a semblé essentiel de décloisonner notre cadre de vie, la ville, en alliant l'architecture, l'art et le design, de la manière la plus naturelle, la plus jouissive, la plus artistique et esthétique qui soit. Pour cela nous avons fait se rencontrer Architectes, artistes et designers, accueillant leurs réflexions, leurs créations avec plaisir et gourmandise. Ainsi, nous avons pu instaurer un dialogue des plus fructueux, des plus aimables entre leurs talents, les villes et leurs citoyens. " G.Verney-Carron.
Le travail engagé par Georges Verney-Carron est aujourd'hui réuni dans ce livre, il rend compte de son goût de la perfection, du plaisir de communiquer ses envies qui a toujours été le sien en contribuant à la beauté de la ville et au confort de ses habitants.
Tant les réalisations circonstancielles que pérennes l'attestent, en effet, la création d'aujourd'hui la plus exigeante, prend place avec aisance dans tous les espaces de la cité, qu'il s'agisse de parcs de stationnement réalisés par Wilmotte Associés et Daniel Buren ; François Morellet, Pierre Vurpas, architecture d'intérieure Wilmotte ; Marine Casimir, Wilmotte Associés ; Michel Verjux et Gérôme Thomas... Ou encore du tramway de Vincent Leroy, Mais aussi des oeuvres in situ de Felice Varini, Philippe Cazal, Gérard Collin-Thiébaut, Cécile Bart, Spencer Tunick....
De nombreux sites, de villes ont ainsi bénéficiés d'une plus-value esthétique, d'humour parfois, mais aussi de sens et enfin de davantage d'urbanité. -
Cet ouvrage met l'accent sur une facette méconnue du roi des Belges Léopold II. Souvent, on s'aperçoit d'une méconnaissance de la passion qu'avait le roi Léopold II pour d'autres civilisations. L'historiographie européenne l'associe quasi mécaniquement, à tort ou à raison, au Congo belge. Cet épisode colonial habite la conscience collective. Il a laissé des traces polémiques. Il a suffi de voir les statues du second roi des Belges qui ont été peinturlurées ou déboulonnées. Cet ouvrage n'aborde pas tant ce sujet que l'intérêt méconnu qu'éprouvait le deuxième roi des Belges pour la civilisation arabo-musulmane notamment. Cet ouvrage tente dès lors de remettre en perspective la richesse culturelle d'un roi qui ne peut être réduit ni au Congo ni des frasques amoureuses. En soi, c'est une approche inédite. Farid Bahri enseigne l'histoire, après un passage par l'Université de Strathclyde (Glasgow) comme assistant. Il est titulaire d'un DEA d'études anglophones de l'Université de Tours (France) et a préparé une thèse de doctorat sur le genre du néo-gothique dans la littérature contemporaine en Amérique. Il possède également un Master en Histoire contemporaine obtenu à l'Université Libre de Bruxelles. Il a écrit de nombreux articles, poèmes et nouvelles dans des revues littéraires et historiques telles que Qantara, Din wa Dunia, le Journal des Poètes, Tel Quel, Nejma ou Zamane. Il collabore actuellement à Jeune Afrique et au Courrier de l'Atlas. Farid Bahri a publié «Tanger, une Histoire-monde du Maroc», aux éditions BiblioMonde, Paris, 2022 ; « 1830-1912, l'Empire à l'agonie ; le Maroc au gré de l'Europe », aux éditions La Croisée des Chemins, Casablanca, 2023 ; « Les Protectorats français au Maghreb (1881-1956) », aux éditions Regards, Paris, en 2024. Farid Bahri paraît intarissable de connaissances sur le monde arabo-musulman d'Afrique du Nord en ses relations avec l'Europe. Ses nombreux écrits déclinent une analyse fouillée et documentée qui ne manque pas d'apporter une pierre à l'édifice du savoir historique partagé au profit de tous, avec une véritable et minutieuse passion. Ses nombreux textes en témoignent.
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Didier Grumbach sait de quoi il parle : il est né, a grandi et s'est affirmé dans le cercle qu'il ouvre ici pour nous. Il ne s'est cependant pas contenté de convoquer ses souvenirs. Depuis des années, il accumule les archives, rencontre les témoins, franchit les portes qui d'habitude restent closes. Et il nous propose enfin une histoire de la mode au XXe siècle conçue à la manière d'une saga, d'une affaire de famille, avec ses pères nobles, ses fils prodigues, ses enthousiasmes, ses passions, ses haines, ses coups de génie, ses échecs. Les aventures individuelles - nos " héros " s'appellent Dior, Saint Laurent, Kenzo, Sonia Rykiel, Prada ou Hermès - s'ordonnent selon une chronologie et une logique qui, jusqu'alors, n'avaient pas été établies.
De la haute couture à l'explosion du prêt-à-porter, des confectionneurs, des stylistes et des créateurs, nous voyons tout à la fois évoluer les techniques, varier un marché, mûrir un art et changer une culture. Nous découvrons aussi comment les Français sont sortis de Paris pour aller à la rencontre de New York, de Tokyo et de Pékin.
Ce livre est indispensable au connaisseur qui y trouvera mille références jamais rassemblées. Il est aussi l'outil d'initiation de l'amateur désireux de visiter les coulisses du plus séduisant des théâtres. -
Au fil du Tarn
Arnaud Comby, Guillemette Comby, Patrice Geniez
- Un Autre Regard
- 14 Octobre 2023
- 9782900803691
Les photographies ont toutes été prises dans un rayon de cinq kilomètres autour du cours d'eau, au plus près du Tarn, afin de faire découvrir ses différents visages. Suivre le Cingle plongeur dans les eaux tumultueuses des pentes du Lozère, frôler les falaises des Gorges avec les vautours, prendre le temps de déambuler dans les Raspes à la recherche du Martin pêcheur, partir à la rencontre du faucon pèlerin et des oiseaux d'eaux de la basse vallée... Des textes accompagnent les photographies de Patrice Geniez, des textes longs, énergiques, bouillonnants comme la rivière, des petits textes avec des anecdotes ou des récits sur la faune et les paysages, mais aussi des haïkus et poésies, courtes, dansantes, reflets sur l'eau.
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Martine Doytier : Autoportrait
Alain Amiel, Brigite Bardelot
- Le Regard
- Monographies
- 1 Février 2024
- 9782958283117
Martine Doytier est une artiste trop tôt disparue.. Telle une fine chroniqueuse de son temps et du monde artistique dans lequel elle vivait et au moyen d'une technique picturale étonnante, chacune de ses oeuvres raconte une histoire dans laquelle s'exprime sa sensibilité à fleur de peau, son caractère ardent et la constante recherche de perfection qui la caractérisait.
Martine Doytier Une vie d'artiste, 1947 - 1984. Ce livre accompagne la rétrospective que la ville de Nice consacre à Martine Doytier, une artiste trop tôt disparue et qui laisse une oeuvre peinte impressionnante par de nombreux aspects.
Telle une fine chroniqueuse de son temps et du monde artistique dans lequel elle vivait et au moyen d'une technique picturale étonnante, chacune de ses oeuvres raconte une histoire dans laquelle s'exprime sa sensibilité à fleur de peau, son caractère ardent et la constante recherche de perfection qui la caractérisait.
Ce livre, largement illustré et comportant plusieurs textes essentiels pour la connaissance de cette oeuvre, retrace l'histoire de cette artiste hors norme et souvent jugée inclassable.
L'exposition, dont le commissaire est Marc Sanchez, se tiendra à L'Artistique à Nice, à compter du mois de février 2024.
La couverture du livre reproduit la grande peinture intitulée " Autoportrait " que Martine Doytier a réalisé patiemment entre 1979 et 1984 et qui est demeurée inachevée. La partie de l'image en couleurs présente l'artiste au travail, son bracelet d'ivoire au bras, et se représentant entourée de ses proches : des personnalités telles que Claude Fournet le Directeur des Musées de Nice de l'époque, Arman entouré de ses oeuvres, son fils Brice en tenue de judoka, le petit monde des gardiens et des conservateurs de musées niçois, un dîner d'artistes à la Villa Masséna ou deux de ses animaux fétiches : sa grande chienne Urane et son cochon d'Inde Bété. Pour cette couverture, les autres parties du tableau sont recouvertes par la couleur grise que Martine Doytier utilisait comme couleur préparatoire pour ses toiles. -
Le chasseur, le veilleur et le gardien
Mary Aulne, Leticia Rose
- Un Autre Regard
- 8 Mars 2024
- 9782900803707
Trois histoires à découvrir dès 2 ans avec Maman ou Papa, pour apprendre à dominer ses peurs, sans se fier aux apparences... quelquefois bien trompeuses !
Il faut reconnaître que nos trois héros, celui du ciel et de la nuit, celui des bois sauvages et celle des profondeurs de la mer ont acquis au fil du temps une bien mauvaise réputation.