Ignatius J Reilly is fat, flatulent, eloquent and almost unemployable. By the standards of ordinary folk he is pretty much unhinged, too. But is he bothered by this? No. For this misanthropic crusader against an America fallen into vice and ignorance has a mission: to rescue a naked female philosopher in distress.
Les années 1940. Un jeune garçon, David, grandit dans une petite ville du Sud, dans une maison délabrée juchée sur une colline. Chaque nuit il voit au loin l'immense bible éclairée de néon qui surplombe l'église, symbole de la ferveur religieuse des habitants qui méprisent sa famille. David trouve refuge auprès de sa tante, la douce et ronde Mae. Mais bientôt celle-ci part pour Nashville, et le pasteur décide de placer la mère de David à l'asile...
John Kennedy Toole - l'auteur de La Conjuration des imbéciles, chef-d'oeuvre qui lui a valu en 1981, à titre posthume, le prix Pulitzer - a écrit La Bible de néon à l'âge de seize ans. Ce premier roman qui languit dans un tiroir jusqu'au succès phénoménal de La Conjuration révèle une tout autre facette de son talent.
Rien de plus authentique que ce testament d'un écrivain qui avait du génie, et dont l'oeuvre est à classer aux côtés de celles de Flannery O'Connor et de Carson McCullers. The New York Times
Les années 1940. Un jeune garçon, David, grandit dans une petite ville du Sud, dans une maison délabrée juchée sur une colline. Chaque nuit il voit au loin l'immense bible éclairée de néon qui surplombe l'église, symbole de la ferveur religieuse des habitants, qui méprisent sa famille. David trouve refuge auprès de sa tante, la douce et ronde Mae. Mais bientôt celle-ci part pour Nashville, et le pasteur décide de placer la mère de David à l'asile... John Kennedy Toole - l'auteur de La Conjuration des imbéciles, chef-d'oeuvre qui lui a valu en 1981, à titre posthume, le prix Pulitzer - a écrit La Bible de néon à l'âge de seize ans. Ce premier roman qui languit dans un tiroir jusqu'au succès phénoménal de La Conjuration révèle une tout autre facette de son talent. " Rien de plus authentique, écrit le New York Times, que ce testament d'un écrivain qui avait du génie, et dont l'oeuvre est à classer aux côtés de celles de Flannery O'Connor et de Carson McCullers."
Les années 1940. Un jeune garçon, David, grandit dans une petite ville du Sud, dans une maison délabrée juchée sur une colline. Chaque nuit il voit au loin l'immense bible éclairée de néon qui surplombe l'église, symbole de la ferveur religieuse des habitants, qui méprisent sa famille. David trouve refuge auprès de sa tante, la douce et ronde Mae. Mais bientôt celle-ci part pour Nashville, et le pasteur décide de placer la mère de David à l'asile... John Kennedy Toole - l'auteur de La Conjuration des imbéciles, chef-d'oeuvre qui lui a valu en 1981, à titre posthume, le prix Pulitzer - a écrit La Bible de néon à l'âge de seize ans. Ce premier roman qui languit dans un tiroir jusqu'au succès phénoménal de La Conjuration révèle une tout autre facette de son talent. " Rien de plus authentique, écrit le New York Times, que ce testament d'un écrivain qui avait du génie, et dont l'oeuvre est à classer aux côtés de celles de Flannery O'Connor et de Carson McCullers."
The ordinary folk of New Orleans seem to think he is unhinged as well. Ignatius ignores them as he heaves his bulk through the city's fleshpots in a crusade against vice, modernity and ignorance. But his momma has a nasty surprise in store for him. He must get a job. Undaunted, he uses his newfound employment to his further mission.