Yann Faucher, 14 ans, a la mort devant lui !
Fauché par un 35 tonnes, mort et enterré et pourtant toujours conscient, Yann croupit au fond de son cercueil en essayant de comprendre pourquoi il ne sombre pas dans le repos éternel...
Jusqu'au jour où, par miracle, il parvient enfin à sortir de sa tombe !
Son premier réflexe ? Retrouver sa famille qu'il a imaginé continuer à vivre paisiblement. Sauf que la réalité est tout autre : ses parents, bouleversés par la mort de leur fils, sont au bord du divorce ; son petit frère s'est replié dans le silence et sa soeur aînée, autrefois si épanouie, est devenue pleine de colère et de rancoeur.
Yann doit à tout prix les aider à retrouver le goût de vivre !
Qui a dit qu'il fallait être vivant pour sauver sa famille ?
Le camping Sasquatch est connu pour sa forêt qui, dit-on, abriterait d'abominables hommes des bois, les fameux Big Foots. C'est là que Caleb et son père plantent leur tente. Le but de leur séjour est de se déconnecter des écrans et de se reconnecter avec la nature. À vrai dire, Caleb craint de passer la semaine la plus ennuyante de sa vie. À sa grande surprise, il se fait un ami dès son arrivée : Wilfred. Cependant, le chien de celui-ci disparaît durant la nuit...
Avec l'aide de l'intrépide Margot et son fidèle bouledogue, les deux compagnons s'aventurent dans la forêt à la recherche du chien égaré.
Gaël et Léa se rendent chez Auguste Delacroix, un vieil excentrique de cent onze ans, afin de l'interviewer pour un travail d'école. Si l'aspect extérieur de la demeure ne paie pas de mine, le propriétaire des lieux se révèle charmant, courtois, plein de vigueur pour un homme de son âge. Au cours de l'entretien, les deux journalistes en herbe se sentent soudainement fatigués. Incapables de lutter contre la vague de sommeil qui les submerge, ils s'endorment... pour se réveiller en plein cauchemar !
Lorsque Gaël et Léa connaîtront le terrible secret de la longévité d'Auguste Delacroix, ils regretteront amèrement d'avoir mis les pieds dans sa maison.
À peine débarqués aux Îles-de-la-Madeleine pour les vacances, Nathan et Rémi font la rencontre de deux sympathiques Madelinots. Au fil de la conversation, Maya et Noé révèlent aux jeunes touristes l'existence du rocher du Diable, une immense pierre en forme de tête-de-mort, située au coeur de la crique des Damnés. Selon la légende, ce lieu serait à l'origine de nombreuses morts mystérieuses. Mis au défi par leurs nouveaux amis, les frères Bilodeau acceptent d'aller visiter cet endroit supposément hanté.Un défi qu'ils risquent de regretter longtemps... s'ils parviennent à s'en sortir vivants.
Assise à l'arrière de la voiture familiale, Juliette soupire d'ennui à l'idée des deux semaines de camping qui l'attendent. Soudain... Bang ! Un oiseau se fracasse contre le pare-brise. Quand le père de l'adolescente descend de voiture, il est frappé à la tête par un autre volatile. Commence alors une série d'attaques qui transformeront ce premier jour de vacances en véritable cauchemar.
« Devant mon refus d'obtempérer, le policier décide de sévir.
- Vos papiers d'identité, s'il vous plaît.
- Euh... Je ne les ai pas.
- Où sont-ils ?
- Dans mon portefeuille... qui se trouve dans mon pantalon.
- Quel pantalon ?
- Celui que je porte.
« Aux Îles-de-la-Madeleine, la mer est partout. En me baladant sur la plage, j'ai eu envie de me marrer. Alors que je contemplais l'horizon, le ciel a fait tomber sur ma tête six idées m'ont fait sourire. » « Ces idées, je les ai nourries en trois coups
C'est l'histoire d'un rire. Mais pas n'importe lequel. Un rire si fou et si déchaîné qu'il menace de faire péter les côtes et la rate de tous ceux et celles qui se trouveront sur son chemin. Un rire catastrophe capable de produire des secousses comiques de très grande magnitude.
Non, vraiment, ce n'est pas drôle de rire autant!
Une grenade sous forme de roman, qui éclate de rire au détour de chaque page.
Attention!
Le rire est un virus contagieux.
La lecture de ce roman comporte des risques de contamination.
« Elle passait le plus clair de son temps à errer dans les rues et à visiter les habitations de ce hameau chaleureux, épiant avec intérêt la population locale. » « Claire Côté n'attirait le regard de personne. Cette adolescente vivait en catimini, en s'excusant presque de respirer. Elle se sentait comme un bibelot. Un bibelot qui faisait partie intégrante du décor et qu'on avait fini par ne plus voir. Elle avait souvent l'impression de ne pas exister aux yeux des autres. Elle en vint même à se demander si elle n'était pas transparente. Un jour, cela se produisit. À force de passer inaperçue, la jeune fille disparut. »