L'édition définitive des chansons de la Dame en noir.
Sont rassemblées, écrites entre 1957 et 1996 et classées chronologiquement, 150 chansons. 120 environ ont été écrites par Barbara, d'autres ont été écrites pour elle, souvent avec sa collaboration, et appartiennent à son répertoire.
Outre les chansons, le livre rassemble quelques textes rares, figurant pour certains dans des programmes, des brouillons annotés de sa main et reproduits en fac-simile, des transcriptions d'interviews radiophoniques des photos rares ou inédites.
Le livre est complété d'une chronologie détaillée et d'une discographie CD.
Une nouvelle édition augmentée du livre paru en 2012.
Barbara Il était un piano noir...
Plus jamais je ne rentrerai en scène.
Je ne chanterai jamais plus...
Sur cet aveu de désespoir de celle qui disait à son public « Ma plus belle histoire d'amour, c'est vous » s'ouvrent ces Mémoires, que la mort - survenue en novembre 1997 - ne lui laissa pas le temps d'achever.
Nous y rencontrons la petite fille des Batignolles, qu'une enfance vagabonde, sur fond d'Occupation, amènera notamment à Marseille, à Tarbes, à Saint-Marcellin, avant le retour à Paris. Puis la jeune fille qui, bravant la misère et les déceptions, poursuivra obstinément son rêve : chanter, devant un piano noir, jusqu'aux débuts à L'écluse, aux premiers succès, aux tournées...
Témoignage sensible et vrai sur un métier, la chanson, ce livre est aussi et avant tout l'autoportrait d'une femme rebelle, artiste, solitaire malgré l'adulation de ses fans, et qui aura retenu jusqu'au bout quelques aveux déchirants, livrés dans ces pages.
Au-delà de ce qu'elle dit et de ce qu'elle tait ici de sa vie, c'est cela que l'on retient, cette voix qui, à nouveau, offre et dérobe ses mystères et ses sortilèges.
Anne-Marie Paquotte, Télérama.
Voici une femme qui était - qui est - « belle à l'intérieur ».
Josyane Savigneau, Le Monde.
Quatre décennies durant, elle a fait vibrer les spectateurs de L'Ecluse, de Bobino, du Châtelet et de tant d'autres salles de spectacle. " Si j'ai pu toucher les gens, c'est sans doute parce que les histoires que je chante sont "sorties" de moi, qu'elles me sont arrivées ", disait-elle. Barbara (1930-1997) mettait sa propre vie en scène chaque fois que le rideau se levait. Bien qu'elle se défendît d'être poète, elle révéla, disque après disque, une plume à la fois énigmatique et limpide, au charme sans pareil. Sont ici rassemblées quelque cent soixante chansons qu'elle enregistra entre 1957 et 1996. Barbara en a signé seule le plus grand nombre. D'autres, écrites pour elle ou avec sa collaboration, notamment par Georges Moustaki, Rémo Forlani, Luc Plamondon ou Jacques Attali, appartiennent à son univers. Ce recueil inclut quelques textes rares, rédigés à l'occasion de spectacles : ébauches pour l'opéra Lily Passion, chanson écrite pour Zizi Jeanmaire, strophes inédites de " Nantes ", " Perlimpinpin " ou " L'Aigle noir "... Une discographie exhaustive et une chronologie détaillée complètent cet ouvrage.
Il rassemble, écrites entre 1957 et 1996 et classées chronologiquement, près de 160 chansons. 120 environ ont été écrites par Barbara, d'autres ont été écrites pour elle, souvent avec sa collaboration, et appartiennent à son répertoire.
Outre les chansons, le livre rassemblera quelques textes rares, figurant pour certains dans des programmes, un texte sur Gérard Depardieu, des brouillons annotés de sa main et reproduits en fac-simile, des photos rares ou inédites.
Le livre est complété d'une brève chronologie et d'une discographie CD complète.
Une édition entièrement mise à jour du livre paru en 2000 sous le titre Ma plus belle histoire d'amour : nouveau format, chansons reproduites sur deux colonnes pour faciliter la lecture, versions rares de certaines chansons, articles nouveaux sur l'art de Barbara.
Barbara (1930-1997) mettait sa propre vie en scène chaque fois que le rideau se levait. Bien qu'elle se défendît d'être poète, elle révéla, disque après disque, une plume à la fois énigmatique et limpide, au charme sans pareil. Sont ici rassemblées les quelque cent cinquante textes des chansons qu'elle enregistra entre 1957 et 1996. Barbara en a signé seule le plus grand nombre. D'autres, écrites pour elle ou avec sa collaboration, notamment par Georges Moustaki, Rémo Forlani, Luc Plamondon ou Jacques Attali, appartiennent à son univers. Une chronologie détaillée, une discographie exhaustive, et des documents rares complètent cet ouvrage.
À son réveil, Loup Gris s'étonne : il sent une odeur nouvelle, toute fraîche.
Cherche avec lui, de page en page, quelle est cette appétissante odeur qui a envahi la forêt. Peut-être saura-t-il trouver d'où elle vient ?
« Plus jamais je ne rentrerai en scène.
Je ne chanterai jamais plus...
Un soir de 1993, au Châtelet, mon coeur, trop lourd de tant d'émotion, a brusquement battu trop vite et trop fort, et, durant l'interminable espace de quelques secondes où personne, j'en suis sûre, ne s'est aperçu de rien, mon corps a refusé d'obéir à un cerveau qui, d'ailleurs, ne commandait plus rien.
J'ai gardé, rivée en moi, cette panique fulgurante pendant laquelle je suis restée figée, affolée, perdue.
J'ai dû interrompre le spectacle pendant quelque temps, puis définitivement...
Durant deux ans, j'ai fait le deuil d'une partie de ma vie qui venait brusquement de se terminer.
Écrire, aujourd'hui, est un moyen de continuer le dialogue. » Barbara, 27 avril 1997
D'où vient ce sentiment diffus et oppressant d'un retard généralisé, lui-même renforcé par l'injonction permanente à s'adapter au rythme des mutations d'un monde complexe ? Comment expliquer cette colonisation des champs économique, social et politique par le lexique biologique de l'évolution ? La généalogie de ce nouvel impératif nous conduit dans les années 1930 aux sources du «néolibéralisme» américain : «néo» car, contrairement au libéralisme classique qui comptait sur la libre régulation du marché, ce nouveau libéralisme autoritaire en appelle aux artifices de l'État (droit, éducation, action sociale). L'enjeu est de transformer l'espèce humaine pour fabriquer les agents d'une compétition mondiale loyale et régulée. Pour Walter Lippmann, théoricien de cette transformation, seul un gouvernement de leaders et d'experts peut conduire l'évolution des sociétés dans la bonne direction. Mais Lippmann se heurte à John Dewey, figure majeure du pragmatisme, qui lui oppose l'intelligence collective des publics, socle d'une indispensable refondation de la démocratie. «La lutte entre le néolibéralisme et la démocratie n'est pas terminée : elle ne fait que commencer», Thomas Piketty, présentation de l'édition américaine, Fordham University Press.
Combien mesure le plus petit singe du monde ? D'où le singe-araignée de Geoffroy tire-t-il son nom ? Comment s'appelle le seul singe sauvage d'Europe ? Toutes les réponses à ces questions sont à découvrir dans ce livre, en images et en grand format.
Quel chat possède le même pelage que le léopard ? Comment le Norvégien fait-il pour se protéger du froid ? Combien mesurait le plus grand spécimen de Maine Coon ? Toutes les réponses à ces questions sont à découvrir dans ce livre, en images et en grand format.
Comment vivre une vie authentique.
Vous êtes sur le point de découvrir que tout ce que vous preniez pour la réalité n'est rien d'autre qu'un rôle que vous avez fort bien appris depuis que vous êtes enfant. Le moment est venu pour vous de devenir l'auteur et le metteur en scène de votre propre vie !
Don Miguel Ruiz, auteur des Quatre Accords toltèques, montre que nous choisissons les rôles que nous jouons selon les situations et les personnes auxquelles nous devons faire face. En reconnaissant être devenus des maîtres en la matière, nous avons une chance de modifier notre comportement et d'exploiter nos talents avec lucidité. Mais surtout, nous pouvons choisir de cesser de faire semblant et de cultiver notre authenticité être.
Engagées dans le Mouvement pour la santé des femmes dans les années 1970, Barbara Ehrenreich et Deirdre English enquêtent sur les racines historiques de la professionnalisation du corps médical. Portant un regard féministe sur les chasses aux sorcières en Europe et la suppression de la profession de sage-femme aux États-Unis, elles s'interrogent : et si, derrière ces événements, se cachait une véritable monopolisation politique et économique de la médecine par les hommes de la classe dominante, reléguant peu à peu les femmes à la fonction subalterne d'infirmière docile et maternelle??
Depuis sa parution aux États-Unis en 1973, cet essai concis et incisif a ouvert la voie à de nombreux travaux de recherche et prises de conscience. Cette traduction s'ouvre sur une préface inédite des deux autrices.
Dans la Haute-Forêt, le monde se divise en deux catégories : les Bariolés, toujours à la pointe de la mode, et les autres qui n'ont que leurs poils sur le dos. Mais Gari, un jeune lièvre brun commun qui n'a rien de commun, ne l'entend pas de cette oreille ! Ingénieur en herbe, il va mettre au point des machines toutes plus géniales les unes que les autres et secouer l'ordre établi !
Petit Ours ne parvient pas à s'endormir. Il a peur du noir. Grand Ours lui apporte une petite lanterne, puis une plus grande. Mais Petit Ours ne s'endort toujours pas: il a peur de la nuit qui pénètre dans la grotte. Alors, Grand Ours a une idée...
Ce livre trouve son origine dans un engagement commun. La philosophe Barbara Stiegler et l'historien Christophe Pébarthe élaborent une histoire et une philosophie démocratiques de la démocratie. Ils reviennent à la racine de ce régime et en rappellent la singularité, pour ensuite dégager les problèmes contemporains de la démocratie.
Depuis 2500 ans et sa création à Athènes, la démocratie a longtemps été ressentie comme un scandale. Le peuple pouvaitil donc se gouverner ? Sans faire confiance aux jugements de certains de ses membres, mieux éduqués, disposant du temps nécessaire pour réfléchir aux problèmes de la société ? À peine était-elle créée que ces critiques, et bien d'autres, lui étaient opposées. Au mieux, elle était envisagée comme un idéal que les réalités sociales rendaient impossibles. Le peuple étant majoritairement composé de pauvres, ces derniers gouvernaient de fait la cité selon leur intérêt, et non celui de tous. En s'instituant deuxième philosophe après Socrate, l'Athénien Platon mit en forme cette opposition qui gouverne encore aujourd'hui le plus souvent la philosophie.
Si la peur de voir des ignorants exercer le pouvoir a perduré, la perspective d'un gouvernement du peuple a été abandonnée ou, au mieux, confondue avec une dérive qualifiée de « populiste ». Au nom de la complexité des enjeux, une minorité d'experts autoproclamés, légitimés par des élections, dirige ce qu'ils nomment des démocraties représentatives. À chaque contestation sociale toutefois, ils n'hésitent à se draper dans l'intérêt général pour défendre des mesures majoritairement rejetées. Ils dessinent ainsi un gouvernement contre le peuple au nom de son intérêt supérieur. C'est donc bien, encore et toujours, l'égale capacité à produire un jugement sur la société qui est contestée. Le scandale de la démocratie demeure inchangé. Il en va de même pour ceux qui réduisent les individus dominés à une expertise sur leur propre domination, comme si cette position sociale interdisait toute prétention à accéder à l'universel.