L'île du Soldat a tant fait parler d'elle ! Chacun se demande qui est son nouveau propriétaire. Une star d'Hollywood, un milliardaire américain, ou l'Amirauté britannique qui s'y livrerait à des expériences ultrasecrètes ? Aussi, quand ils reçoivent une invitation à y passer des vacances, sans vraiment connaître leur hôte, ils accourent tous les dix.
Traduction révisée de Gérard de Chergé.
Par le plus grand des hasards, Hercule Poirot se trouve dans la voiture de l'Orient-Express - ce train de luxe qui traverse l'Europe - où un crime féroce a été commis.
Une des plus difficiles et des plus délicates enquêtes commence pour le fameux détective belge.
Autour de ce cadavre, trop de suspects, trop d'alibis.
Ce n'est pas très joli de voler son fiancé à sa meilleure amie pour se marier avec lui. Et même si l'amie en question semble se résigner, la ravissante et riche Linnet Ridgeway a bien des raisons d'être inquiète... Surtout quand le hasard les rassemble, pour une croisière sur le Nil, avec d'inquiétants personnages, dans une atmosphère lourde de sensualité et de cupidité.
Un petit revolver, un crime étrange, une énigme de plus à résoudre pour un passager pas comme les autres : Hercule Poirot.
Un soir dans sa propriété de Fernly Park, l'industriel Roger Ackroyd se confie à son ami le Dr Sheppard. La veuve qu'il envisageait d'épouser s'est suicidée pour échapper à un chantage. Dans une ultime lettre, elle lui révèle le nom de celui qui détient un terrible secret : un an plus tôt, elle a assassiné son mari.
Le 31 octobre, les sorcières s'envolent sur leur manche à balai : c'est Halloween, la fête du potiron.«Savez-vous que j'ai eu l'occasion d'assister à un vrai meurtre?» se vante Joyce, une fillette à la langue bien pendue, lors d'une soirée enfantine chez Mrs Drake... Elle en mourra.
Le 31 octobre, les sorcières s'envolent sur leur manche à balai : c'est Halloween, la fête du potiron.«Savez-vous que j'ai eu l'occasion d'assister à un vrai meurtre?» se vante Joyce, une fillette à la langue bien pendue, lors d'une soirée enfantine chez Mrs Drake... Elle en mourra.
Jane Marple lit avec incrédulité la lettre que lui a adressée M. Rafiel, récemment décédé, un homme qu'elle n'a rencontré qu'une fois, lors de vacances dans les Caraïbes (Le major parlait trop). Confiant en son intuition naturelle pour la justice, M. Rafiel lui a laissé des instructions afin qu'elle enquête sur un vieux crime. Cependant, il ne lui dit ni qui était impliqué, ni où ni quand le crime a été commis...
Miss Marple est-elle l'incarnation de Némésis, la déesse grecque de la vengeance et de la justice ?
Assassiner une vieille dame pour lui voler trente livres, c'est d'un sordide ! Un crime aussi vulgaire ne peut intéresser l'illustre Poirot... à moins que la police ne fasse fausse route depuis le début ?
Gordon Cloade est mort fort à propos sous les décombres de sa villa ravagée par le Blitz. Il laisse à sa jeune veuve, Rosaleen, une fortune colossale et cela, évidemment, ne fait pas l'affaire du clan Cloade qui se voit, d'un seul coup, spolié par l'intruse. Or le bruit court que le premier mari de Rosaleen ne serait pas mort, ce qui, bien entendu, aurait pour effet d'annuler le second mariage... Ces situations troubles sont pain bénit pour les maîtres chanteurs. En voici justement un qui fait chanter la jeune femme. Pas très longtemps : en lui portant son breakfast, la petite bonne de l'auberge où l'individu est descendu trouvera, dans sa chambre, un bien vilain spectacle...
Roulant dans la même direction et presque à vitesse égale, les deux trains semblaient disputer un match.
Mrs McGillicuddy, pour se distraire, regardait les occupants du compartiment qui s'offrait à sa vue. Ce qu'elle vit lui arracha un cri. Debout, le dos tourné, un homme serrait la gorge d'une femme : il l'étranglait. Le hasard voulut que le « 16 h 50 » ralentît et que le train « parallèle » le dépassât, disparaissant ainsi dans la nuit.
En cherchant une balle de golf, le fils du pasteur découvre, au pied des rochers, un individu tombé de la falaise. Avant de passer de vie à trépas, l'homme ne dit qu'une petite phrase : « Pourquoi pas Evans ? ». Le tribunal d'enquête, réuni le lendemain, conclut à l'accident. Un accident, c'est vite dit.
Qui, dans ce cas, aurait eu intérêt à fourrer, un peu plus tard, huit grains de morphine dans la bière du témoin ?
L'amie du garçon, la jeune comtesse Frankie, a son idée là-dessus. Et comme les enfants de l'aristocratie anglaise ont du temps à revendre, elle emploiera le sien à jouer, avec son petit camarade, les détectives amateurs...
Quelle drôle d'idée ! Rassembler pour des vacances à La Pointe-aux-Mouettes l'ex-Mrs Strange - Mrs Audrey depuis son divorce - et Kay, la nouvelle tenante du titre, sous le prétexte d'en faire des amies... c'est de l'inconscience, pour ne pas dire plus. Car enfin, l'époux de ces dames n'a quand même pas la naïveté de croire qu'elles vont tomber dans les bras l'une de l'autre. D'ailleurs, si ces tigresses ne se sont pas encore écharpées, c'est qu'elles se retiennent. Pour l'instant. Les vertus calmantes de l'air marin, sans doute... Mais les choses n'en resteront pas là. Deux Mrs Strange sous le même toit, c'est une de trop...
Quand on découvre le colonel Protheroe tué d'une balle dans la tête dans le bureau du presbytère, le pasteur a sans doute déjà une idée sur l'identité possible de l'assassin ou, en tout cas, sur un mobile vraisemblable. N'assiste-t-il pas au thé hebdomadaire de sa femme, où s'échangent potins et cancans ?
Elle est bien belle, la concubine qu'Imhotep a ramenée de son voyage dans le Nord. Mais elle n'est qu'une étrangère, et on ne l'aime pas. D'ailleurs, depuis qu'elle a ensorcelé le maître, rien ne va plus au domaine. Et ce démon va finir par décider de tout si l'on n'y prend pas garde. Il faut agir avant qu'il ne soit trop tard. Si elle venait à disparaître, le coeur d'Imhotep retournerait à ses fils. Il suffirait d'écraser le serpent, et tout redeviendrait comme avant. Est-ce bien certain ? Le mal vient-il seulement de l'étrangère ? On dirait qu'un poison intérieur ronge aussi la maison du maître...
Le « Champ du gitan »... Michael avait tout de suite aimé la beauté sauvage de cette propriété. C'était décidé : sur les ruines de l'ancien manoir, il construirait sa maison. Une maison de rêve, bien entendu. Et il s'y retirerait, loin de tout, avec Ellie. Mais le « Champ du gitan » avait mauvaise réputation et la lande était maudite. On racontait que les romanichels lui avaient jeté un sort, que d'étranges accidents s'y produisaient... Pourtant, Michael n'était pas superstitieux, lui. Les menaces de la vieille bohémienne ne lui faisaient pas peur. Personne ne croit plus à ces choses-là, de nos jours...
Depuis quelque temps, les gens meurent comme des mouches à Wychwood. Heureusement, Miss Pinkerson, vieille personne sympathique, a sa petite idée sur l'origine de ces décès suspects. Elle décide de prendre les choses en main. Par un heureux coup de hasard, dans le train qui l'emporte à Scotland Yard, elle rencontre un jeune homme également sympathique qui a occupé, en Orient, des fonctions dans la police. Et, par chance, ce jeune homme qui jouit de revenus personnels a tout son temps devant lui. Seulement, s'il prête une oreille bienveillante aux bavardages de la vieille dame, Luke Fitzwilliam ne croit pas un mot de ce qu'elle lui raconte. Il la prendra au sérieux quand elle sera écrasée par une voiture avant d'avoir pu faire son petit rapport à Scotland Yard. Le jeune détective fera, bien évidemment, de l'enquête une affaire personnelle.
Ramolli, Hercule Poirot ? Allons donc ! Il a beau être cloué par l'arthrite dans une chaise roulante, son brillantissime cerveau n'en reste pas moins en pleine forme. D'ailleurs, n'est-ce pas dans un fauteuil qu'il a l'habitude de mener l'enquête ? Et puis, les lieux lui sont familiers. Le manoir de Styles... Poirot s'est illustré ici même, jadis. Il pourrait presque s'y trouver en pèlerinage. Mais non. Il est venu affronter un meurtrier particulièrement coriace. Lié à cinq affaires criminelles - bigre, joli tableau de chasse ! - et déterminé à récidiver. C'est compter sans les increvables petites cellules grises. Et la volonté de Poirot de quitter la scène sur un coup de maître...
Thomas Betterton, un savant atomiste, s'est mystérieusement évaporé. Les services secrets britanniques sont sur les dents... Leur seule piste : sa femme - qui décède malencontreusement dans un accident d'avion. Et si une autre acceptait de prendre sa place ?
Charles ? Un mauvais sujet. Thérèse ? Trop maquillée pour être honnête. Bella ? Une idiote ; d'ailleurs elle a épousé un Grec... Impardonnable. Bref, ni le neveu ni les nièces de miss Arundell ne trouvent grâce à ses yeux. Dommage ! Ils auraient tellement besoin de son soutien... financier, s'entend. La vieille demoiselle roule sur l'or. Et elle dépense si peu... C'est bien normal à son âge... Alors puisqu'ils doivent hériter de toute façon, pourquoi ne leur consentirait-elle pas une petite avance ? Son obstination à refuser est ridicule. Dangereuse même. La tentation de l'aider à quitter ce monde pourrait devenir trop forte...
Un cadre bien délimité - le Vallon, propriété de la toujours belle Lucy Angkatell ; des suspects en nombre restreint ; pour Hercule Poirot, l'assassinat du médecin John Christow pourrait ressembler aux affaires dont il a l'habitude.
Mais, cette fois-ci, tous les indices mènent à des impasses, tous les soupçons se révèlent injustifiés. Comme si une intelligence non moins redoutable que celle du petit détective à moustaches s'appliquait à brouiller les pistes.
Qui veut-on donc protéger ? Et pourquoi ? Le lecteur ne le saura qu'aux dernières pages. Et Poirot s'inclinera devant un adversaire à sa mesure.
Il ne fait pas bon, ces derniers temps, être invité aux dîners de Sir Charles. À quelques jours d'intervalle, un pasteur, puis un psychiatre en sortent les pieds devant. Le mobile insolite de ce double crime, il faudrait avoir été invité à dîner pour le découvrir. Et quand cet invité s'appelle Hercule Poirot...
Cinq témoignages accablants ont fait condamner à la détention perpétuelle Caroline, la femme de Amyas Crale, peintre renommé, mort empoisonné.
Seize ans plus tard, Hercule Poirot prend l'affaire en main. Ne s'arrêtant pas aux évidences, tirant parti du moindre indice, il fait éclater une vérité à laquelle personne ne s'attendait.
C'est pour une bien mince affaire qu'on dérange le grand Hercule Poirot : dans une pension de famille peuplée en majeure partie d'étudiants, il s'est produit toute une série de menus larcins et de petits actes de malveillance - délits trop insignifiants pour qu'on prévienne la police et qui semblent encore moins dignes du génie de Poirot. Mais la liste des méfaits est si bizarre que l'attention du célèbre détective en est piquée. Alors que l'enquête commence, les choses se gâtent. En fait, elles deviennent intéressantes : trois cadavres resteront sur le carreau.
Le prix à payer pour la découverte d'un bien vilain trafic...
Dans la maison où a été assassinée Mme Argyle, n'étaient présents à l'heure du crime que le mari, la gouvernante, une infirmière et les cinq enfants adoptés par le couple. Déclaré coupable, un des garçons est mort en prison quand, deux ans après le procès, un témoin à décharge se présente pour confirmer son alibi. Cependant, la famille fera grise mine à cet homme scrupuleux venu réhabiliter le jeune homme. C'est qu'il n'y a pas qu'une vérité : celle que fera éclater le docteur Calgary est bien sombre et, plus cruellement que tout autre, blessera bien du monde.