Être le fils de Poséidon, un honneur ou une cruelle plaisanterie ? Lorsqu'une simple partie de foot se change en bataille contre un gang de cannibales géants, Percy le demi-dieu a un terrible pressentiment...
Comme le lui annonçaient ses étranges cauchemars, les frontières magiques qui protègent la Colonie des Sang-Mêlé sont empoisonnées. Pour sauver leur domaine, Percy et ses amis devront parcourir la mer des Monstres, qui porte bien son nom.
Chef-d'oeuvre absolu, Le Prophète est un des rares livres d'éternité qui serve notre méditation et donne un sens à notre vie. Cette nouvelle traduction restitue la vraie saveur du texte original.
Un véritable trésor national ! The Times Sur un coup de tête, Agatha Raisin décide de quitter Londres pour goûter aux délices d'une retraite anticipée dans un paisible village des Costwolds, où elle ne tarde pas à s'ennuyer ferme. Afficher ses talents de cordon-bleu au concours de cuisine de la paroisse devrait forcément la rendre populaire. Mais à la première bouchée de sa superbe quiche, l'arbitre de la compétition s'effondre et Agatha doit révéler l'amère vérité : elle a acheté la quiche fatale chez un traiteur. Pour se disculper, une seule solution : mettre la main à la pâte et démasquer elle-même l'assassin.
Agatha Raisin, c'est une Miss Marple d'aujourd'hui. Une quinqua qui n'a pas froid aux yeux, fume comme un pompier et boit sec. Sans scrupule, pugnace, à la fois exaspérante et attendrissante, elle vous fera mourir de rire !
Une héroïne haute en couleur au caractère de cochon pour qui on craque dès le premier chapitre. Le ParisienSi vous aimez la futée Miss Marple d'Agatha Christie, vous ne résisterez pas à Agatha Raisin, une quinqua qui n'a peur de rien.[...] Cette série est une gourmandise. Version Femina
« Une série formidable... Qui mieux que M. C. Beaton pour nous entraîner à la poursuite d'un assassin dans la campagne écossaise ? Sa recette est infaillible ! » New York Times Book ReviewPolicier du petit village de Lochdubh situé au beau milieu des Highlands en Écosse, Hamish Macbeth manque totalement d'ambition professionnelle mais il peut cependant compter sur son intuition naturelle pour mener à bien ses enquêtes. Ses qualités lui seront bien utiles quand le corps sans vie de Lady Jane Winters, langue de vipère notoire et participante au stage de pêche à la mouche du village, est retrouvé dans la rivière.
Secondé par la délicieuse Priscilla Halburton-Smythe, Hamish s'immerge en eaux troubles pour démasquer l'assassin.Vous aimez Agatha Raisin ? Vous allez adorer Hamish Macbeth !
Comme sa grande soeur Agatha, cet Hercule Poirot à la sauce écossaise entraîne le lecteur dans des aventures totalement déjantées sorties tout droit de l'imagination de M.C Beaton. Avec, en prime, le charme des lochs, des highlanders mystérieux et des châteaux hantés. Attention, fantômes !
À l'instar de Freud, Jung a toujours considéré le rêve comme la «voie royale d'accès à l'inconscient». Mais, héritier de la tradition néoplatonicienne, de la théologie mystique et de la philosophie romantique allemande, il envisage l'inconscient d'une manière différente: le rêve ne demande pas à être décrypté pour faire venir au jour son sens caché; selon la formule du Talmud, il est son propre commentaire - et son interprétation consiste à en découvrir le sens interne. Les rêves invitent ainsi à un travail de comparaison avec des motifs folkloriques, mythologiques ou religieux, des formations symboliques telles que les révèlent l'ethnologie et l'anthropologie.Dans ce séminaire de 1928-1930, à partir de multiples exemples soumis à la discussion avec les participants, dans un style direct et remarquablement vivant, Jung formule sa théorie du rêve.
À l'instar de Freud, Jung a toujours considéré le rêve comme la «voie royale d'accès à l'inconscient». Mais, héritier de la tradition néoplatonicienne, de la théologie mystique et de la philosophie romantique allemande, il envisage l'inconscient d'une manière différente: le rêve ne demande pas à être décrypté pour faire venir au jour son sens caché; selon la formule du Talmud, il est son propre commentaire - et son interprétation consiste à en découvrir le sens interne. Dans cette seconde partie du séminaire de 1928-1930, comme dans le premier volume, Jung ne se contente pas de faire la théorie du rêve. À partir de rêves réels, il nous montre d'une façon particulièrement vivante, à travers une discussion suivie avec les participants du séminaire, comment se pratique la lecture symbolique des rêves.
Sur la question du transfert comme sur tant d'autres, Jung avait conscience d'avoir mené à son terme la recherche entreprise par Freud. Pour mettre au jour la dimension transpersonnelle de l'échange thérapeutique, il recourt au symbolisme alchimique. À travers la rencontre de deux individus, il montre la mise en présence, à des niveaux divers, de deux archétypes, «le roi et la reine», l'homme et la femme en tant que principes. S'appuyant sur les figures du Rosaire des philosophes, un traité publié en 1550, il décrit les phases dramatiques conduisant aux « noces royales » en les mettant en parallèle avec les différentes phases de la cure thérapeutique. La mort et la résurrection des deux partenaires donnant alors naissance au « fils des sages » ou androgyne, où s'unifient le masculin et le féminin.Cet ouvrage servira de guide à quiconque est appelé à plonger, par le dialogue, dans «le feu secret des sages», nom de l'amour transformant, créateur de l'hermaphrodite, l'un des mille noms de latotalité psychique, duSoijungien.Carl Gustav Jung (1875-1961) est le fondateur de la psychologie analytique. Les éditions Albin Michel ont publié la plupart de ses oeuvres, dont dans la même collection, Aiôn, L'Âme et le Soi, L'Analyse des rêves (2 tomes).
« Cet ouvrage très documenté se lit comme le plus passionnant des romans, à ceci près qu'il relate une tragédie vraie. [...] Une véritable (re)découverte des Amériques. » Le Monde diplomatiqueFruit du travail colossal d'archéologues, d'anthropologues, de scientifiques et d'historiens, ce livre nous montre pour la première fois le vrai visage des mondes précolombiens : une mosaïque de peuples, de langues, de cultures, d'empires, de cités puissantes, souvent plus riches et plus vastes que celles d'Europe; un creuset de civilisations brillantes et évoluées, soucieuses de leur environnement - et non pas le continent vierge et sous-exploité que l'Histoire officielle a voulu nous présenter.De la forêt amazonienne aux plateaux andins des Incas, du Mexique maya, olmèque ou aztèque aux villages des Iroquois, 1491 rétablit une vérité historique longtemps niée et nous entraîne au coeur d'un voyage fantastique à travers les Amériques, que nous découvrons peut-être pour la première fois sous leur véritable jour.
Mona Sourisa cache un secret ! Ratonard de Minci avait truffé son tableau d'indices mystérieux... Et mon flair de souris me dit qu'un trésor se cache là-dessous. Oui, oui, un trésor, vous avez bien lu ! Ça vous donne envie de suivre l'enquête ? Je préfère vous avertir : l'aventure s'annonce mouvementée !À partir de 8 ans
Ce livre révolutionnaire retrace la longue histoire des Indiens d'Amérique du Nord. Couvrant plus de cinq siècles - des premiers contacts avec les Européens aux actions des militants d'aujourd'hui - il fait appel à l'ethnographie, à l'archéologie, à la tradition orale et s'appuie sur les recherches menées par l'auteur des années durant afin de restituer l'épopée d'un véritable affrontement entre deux cultures.
Rétablissant une vérité historique trop longtemps ignorée, cet ouvrage passionnant dévoile pour la première fois le regard des Indiens sur le passé et le présent de l'Amérique.
« Une contribution majeure à l'histoire et à la littérature indiennes, plus précise et plus émouvante que tous les livres publiés sur le sujet. » (The Washington Post) « Une fresque ample, sérieuse et documentée à la fois sur le conflit des cultures et sur les mythes qu'il a engendrés. » (The New York Times) « Une histoire magnifique de l'Amérique indienne qui est aussi le récit sincère d'une épopée faite d'incompréhension et de malheur. » (Kirkus Reviews)
Avez-vous déjà entendu parler du terrible Pirate noir ? Noooon ? bande de veinards ! Sur toutes les mers, c'est la terreur, le pire cauchemar des souris. Franchement, c'était bien ma chance... Il fallait vraiment que ça m'arrive à moi, de me retrouver prisonnier sur son bateau...À partir de 8 ans
Pour Richard Sennett, l'artisanat désigne la tendance foncière de tout homme à soigner son travail et implique une lente acquisition de talents, où l'essentiel est de se concentrer sur sa tâche plutôt que sur soi-même. Des tailleurs de pierre de la Rome antique aux orfèvres de la Renaissance, des presses du Paris des Lumières aux fabriques du Londres industriel, l'artisan a toujours été un concepteur, et pas uniquement un exécutant. Étudiant les artisans modernes comme les développeurs de logiciels Open Source, notamment les spécialistes de Linux, le sociologue et historien montre qu'il existe une continuité entre la conception et la réalisation. Par là, il abolit les frontières entre la tête et la main, la pratique et la théorie, l'artisan et l'artiste, et prouve brillamment que «faire, c'est penser».Face au bouleversement actuel des formes de travail, l'artisan apparaît comme source et moteur d'une société où primeraient l'intérêt général et la coopération.Ses essais, couronnés de multiples prix internationaux, ont imposé Richard Sennett comme une des figures les plus originales de la critique sociale. Ce que sait la main est le premier volet d'une trilogie consacrée à la «culture matérielle» parue, avec Ensemble (2014) et Bâtir et Habiter (2019), aux éditions Albin Michel.
Un bébé échappe par miracle à un mystérieux assassin qui vient de tuer sa famille. Le nouveau-né trouve refuge dans le cimetière voisin. Il est adopté par un couple de fantômes M. et Mme Owens. Devenu ami de Lise, une ex-sorcière excentrique autrefois brûlée vive, et protégé par un vampire mystérieux et fascinant - Silas -, le jeune Nobody Owens grandit heureux, entouré d'amour par une bien drôle de famille. Mais vivre parmi les morts peut se révéler aussi dangereux que d'affronter le monde des vivants. Car le meurtrier des parents de Nobody le traque toujours, plus que jamais décidé à accomplir sa mission : tuer Nobody...
Rassemblée par deux ethnologues internationalement reconnus, la présente anthologie est la plus complète qui soit sur le chamanisme. Jeremy Narby et Francis Huxley ont en effet recueillis les textes et témoignages essentiels écrits sur ceux qu'on appelait jadis « sorciers indigènes », « ministres du diable », « magiciens »... Ces écrits, dont le premier remonte à 1535, soit à la conquête espagnole, nous offrent un aperçu unique de ces traditions longtemps persécutées qui renaissent aujourd'hui. Au fil de ces soixante-dix textes, des explorateurs inconnus côtoient Alfred Metraux, Mircea Eliade, Claude Lévi-Strauss, R. Gordon Wasson, Carlos Castaneda et bien d'autres, retraçant cinq siècles d'études sur les chamanes, leurs pratiques, leurs pouvoirs et leur vision du monde qui passionnent nos contemporains.
La Bhagavad-Gîtâ ou « chant du Seigneur » est sans aucun doute, avec les Upanishad, l'un des textes fondateurs de la spiritualité indienne. Il a été sans cesse commenté par les plus grands philosophes indiens, de Shankara, qui voyait dans cette « sainte Écriture » « un recueil des vérités essentielles de tout l'enseignement védique » aux maîtres des traditions vishnoutes et shivaïtes, et a été traduit dans toutes les langues. Inséré dans la grande épopée du Mahâbhârata, juste avant le combat final, il met en scène le guerrier Arjuna et son cocher, Krishna, qui se révèlera progressivement dans le poème comme « le Dieu des dieux », le Bhagavân, « le Seigneur ».
Par sa richesse, sa concision et la profondeur de son message invitant à avancer bravement au-delà des apparences vers l'Unité, ce texte se prête à une grande diversité d'interprétations. Forgée par trente années d'études et d'enseignement celle de Gisèle Siguier-Sauné situe la Gîtâ dans le prolongement des textes qui l'ont précédée pour en explorer la féconde originalité. Ainsi nous conduit-elle pas à pas dans cette quête de l'Unité jusqu'au dévoilement de l'Amour libérateur, ultime révélation de ce poème unique.
Au début des années 1860, l'Amérique décide d'en finir une bonne fois pour toutes avec les Indiens. C'est principalement dans les Grandes Plaines que des tribus entendent résister à l'avancée des Blancs. La guerre de Sécession terminée, c'est à l'armée qu'incombe la tâche de régler le problème indien. Ironie de l'histoire, le 25 juin 1876, le général Custer et son régiment sont anéantis par l'ennemi sur les rives de la Little Bighorn. Ce jour-là, Crazy Horse et Sitting Bull infligent à l'Amérique sa plus désastreuse défaite. Et pourtant, elle annonce la fin d'un monde : lors des années qui vont suivre, tous les Indiens finiront parqués sur des réserves.
C'est la version indienne de l'Histoire que James Welch s'attache ici à faire revivre. Relatant par-delà les mythes et les malentendus un des épisodes les plus sombres de l'histoire américaine, il dit la fierté et le désespoir d'un peuple privé de ses droits, devenu étranger sur sa propre terre.
Djalâl-od-Dîn Rûmî que le monde de l'Islam désigne, par respect, comme notre maître (Mawlânâ, Mevlana en turc) n'est pas seulement l'un des plus grands penseurs mystiques de tous les temps, un voyant qui (au Xllle siècle !) parlait de la fission de l'atome et de la pluralité des systèmes solaires, c'est aussi l'un des plus merveilleux poètes de la littérature universelle, fondateur de l'ordre des derviches tourneurs.
La mise de l'homme au diapason du cosmos, l'oratorio spirituel des derviches qui symbolise la ronde des planètes autour du soleil et, à un second niveau, la recherche du Soi, sont longuement célébrés dans les Rubâi'yât : comme les atomes, le soufi danse, et la musique ne fait que réveiller les mystères du coeur.
Un ouvrage essentiel qui interroge les implications philosophiques de la recherche scientifique (notamment en mécanique quantique) et ses conséquences sur le développement de l'humanité.
Le jardin de fruits (Boustân) est un recueil poétique d'une soixantaine d'histoires écrit par le poète persan Saadi au XIIIe siècle. C'est son autre grande oeuvre avec Le Jardin de roses (Gulistân). Pendant ses longues années de voyage, Saadi a connu beaucoup de difficultés, vivant parfois comme un mendiant. Il commença la rédaction du Boustân dans les années 1250 à Damas, avant de retourner dans sa Shirâz natale. Ces histoires, mêlant récits de voyage, anecdotes et réflexions morales, écrites à la manière des fables, et souvent drôles, sont autant de perles de sagesse de l'Iran médiéval. Abordant tour à tour la justice, l'art de gouverner, l'amour physique ou spirituel, la voie mystique et mille autres choses encore, Saadi se fait aussi le chantre de la nature et traduit dansses vers l'inexprimable beauté de la nature afin de réveiller dans l'homme le plaisir esthétique
Sur les 7 000 langues parlées aujourd'hui à travers la planète, au moins la moitié pourraient cesser d'exister d'ici la fin du XXIe siècle, emportant avec elles une certaine vision du monde : celle des peuples autochtones. Cette menace qui pèse sur la diversité humaine et culturelle, l'anthropologue canadien Wade Davis peut en attester. Après avoir sillonné le monde pendant plus de quarante ans, il nous met en garde contre le danger qu'une telle perspective représente. Si rien n'est fait, de nombreuses cultures, parmi les plus fragiles, sont vouées à disparaître et, avec elles, des connaissances, des modes de pensée, des arts et des spiritualités - en un mot toute la sagesse d'une mémoire ancienne.De la Polynésie aux Andes, du Mali au Groenland, du Tibet à l'Australie, ce un voyage est tout autant un plaidoyer en faveur des cultures anciennes qu'une invitation à repenser notre monde avant qu'il ne soit trop tard.
La nouvelle machine du professeur Volt emmène la famille Stilton dans un second voyage dans le temps. L'aiguille s'arrête tout d'abord sur la Rome antique. Mais après quelques aventures dans les thermes et une course de chars dans le Cirque Maximus, c'est dans la forêt du Yucatan, en pleine époque Mayas, que Géronimo atterrit. Là-bas il découvre la Cité Sacrée, le temple de l'écriture secrète, le calendrier maya et le puits de sacrifices !
Un dernier tour dans la machine à remonter le temps le conduit à Versailles, à la cour du Roi Soleil, où, à travers le palais des glaces, il participe à une enquête pour retrouver le médaillon royal.
Un gros volume de trois aventures dans le temps destiné à passionner les lecteurs : trois époques à découvrir grâce à une documentation riche et détaillée. Pour découvrir l'histoire en s'amusant, rien de mieux que remonter le temps avec Geronimo.
Au cours de la seconde moitié du XIXe siècle, le territoire couvert aujourd'hui par le Nouveau-Mexique, l'Arizona et le Nord du Mexique fut le théâtre d'une tragédie marquée par la violence, la perfidie et la cruauté. Dans cette lutte sans merci, les chefs apaches n'auront de cesse de défendre leur patrie, alors que leurs ennemis n'aspirent qu'à leur mort, leur déportation ou leur parcage sur des réserves.
Peu de chefs indiens auront exercé une aussi grande fascination que les figures désormais légendaires de Cochise et Géronimo. Sous la plume de David Roberts, écrivain et journaliste, cette histoire des guerres apaches devient une véritable épopée. II nous donne à lire une immense fresque épique, remarquablement construite et mise en scène, qui porte un regard particulier sur le rapport entre des cultures différentes et sur les peuples qui combattent pour leur liberté.