Hercule, jeune héros sensible et plein d'entrain, vient d'entrer à l'école d'agents intergalactiques. Pas évident d'y réussir quand on est petit et affublé d'un compagnon de classe maladroit et peureux ! Qu'importe, Hercule est déterminé à réussir. Pour son premier travail de classe, il rencontre Margot, une jeune Terrienne un peu étrange qui s'entraîne à manger des glaçons...
Hercule et Marlon sont arrivés en deuxième année à l'école d'agents intergalactiques. Et ils ont encore beaucoup de choses à apprendre ! Mais lorsque leur professeur est victime d'une morsure d'un réfugié extra-terrestre, il ne s'agit plus uniquement d'appliquer la théorie... Il faut agir vite ! Car la folie qui s'empare de l'enseignant semble se propager dans leur école... Comment combattre l'épidémie ? Et que doivent-ils faire face aux migrants de l'espace qui stationnent à leur porte ?
Prêts à vivre une aventure palpitante, les deux héros découvriront aussi une dimension citoyenne et solidaire qui les mènera plus loin qu'ils ne l'avaient imaginé.
Hercule et Marlon, les apprentis agents intergalactiques, échouent sur une nouvelle planète. Sur cette dernière, une ville tentaculaire, énergivore et aseptisée endort ses habitants pour faire régner l'ordre. Heureusement, ils font la connaissance d'Ariane et de son petit groupe de rebelles bien décidés à vivre en harmonie avec la nature. Mais le combat est loin d'être gagné... En effet, tous ne sont pas prêts à renoncer au confort, même s'il dérègle la planète.
Charles Singullier est un employé ordinaire qui, pour une fois, se permet une petite originalité : il s'achète un chapeau melon au marché aux puces des Marolles à Bruxelles. Une fois le chapeau posé sur la tête, rien ne sera plus pareil pour Charles : il est victime d'hallucinations issues de l'oeuvre de Magritte. Et plus moyen d'enlever ce chapeau sauf s'il perce le mystère des tableaux de Magritte ! Une oeuvre qui s'interroge sur le sens des mots et des images et qui entraîne Charles dans un jeu de piste qui l'amènera à mieux comprendre Magritte, à le croiser, mais aussi à s'interroger sur lui-même, sur l'amour et sur la place de la fantaisie dans sa vie.
Une ville, une rue, deux immeubles qui se font face et quelques personnages comme on en croise tous les jours. Ils sont emportés par leur vie, de la maison au bureau, de la crèche au cimetière. Parmi ces gens, certains fonctionnent moins bien que d'autres. Des petites gens. Ils sont là mais on ne les voit pas. La seule chose qui importe, c'est qu'ils fassent ce qu'on attend d'eux : travailler puis mourir sans bruit. Mais parmi ces petites gens, quelques-uns ont l'air d'encore aimer la vie. Ils l'aiment assez pour essayer de lui donner un sens, d'y trouver le bonheur. On dirait des révolutionnaires. Silencieux et pacifiques.
Il y a par exemple ce petit fonctionnaire des chemins de fer, préposé aux objets trouvés. Ce qui l'éveille la nuit, c'est le sourire de son vieux collègue ! Comment un type qui a une vie aussi banale, aussi ennuyeuse que la sienne peut-il afficher perpétuellement un sourire de bonheur ? Une question qui trouvera une réponse qui pourrait bien tout changer.
Il y a aussi cette technicienne de surface à la passion bien étrange, cette vieille danseuse qui, même à la retraite, perpétue la magie du spectacle.
Et ce père qui ne sait plus comment vivre avec son fils depuis que sa femme est morte ?
Leur voisin, un vieil original qui donne ses livres comme autant de caresses, de remèdes, tentera de briser le grand silence qui s'est établi entre eux.
Les petites gens ont des petites vies, si petites qu'on devrait les oublier, mais c'est pourtant elles que l'on va vous raconter.