- Les Façons d'être est la première anthologie personnelle de François de Cornière. Elle réunit ses poèmes les plus marquants ainsi que de nombreux inédits.
- Pratiquant toujours l'arrêt sur image à partir d'infimes détails du quotidien, de quelques mots dans un carnet, François de Cornière restitue avec une désarmante simplicité des instants de vie qui prennent soudain force.
- Avec Les Façons d'être, François de Cornière entrouvre les portes de son univers ! Il décrit avec justesse et délicatesse la complexité de l'existence.
Ces mots traversent les frontières est l'une des anthologies du Printemps des Poètes 2022. Elle met en lumière la poésie contemporaine ! Ici, la curiosité et la diversité l'emportent sur le dogme.
- Cette anthologie du Printemps des Poètes réunit autour du thème des frontières les textes inédits d'une centaine de poétesses et poètes contemporains francophones. Ainsi, elle est le témoin du foisonnement de la création poétique de l'année 2022.
- Ces mots traversent les frontières célèbre la poésie contemporaine et la diversité des voix qui la composent. Ici, aucun courant poétique ni aucune doctrine littéraire ne font la loi. Au fil des pages, vous découvrirez des textes singuliers qui interrogent chacun à leur manière la notion de frontière.
- Le livre est dédié aux poètes disparus en 2022 : Jeanine Baude, Michel Deguy, Henri Deluy, Michelle Grangaud, René de Obaldia, Jean-Luc Parant.
Le recueil Les Ronces de Cécile Coulon est désormais accessible en poche.
Sa poésie est une poésie de l'enfance, du quotidien, de celles qui rappellent les failles et les lumières de chacun.
Noir volcan a été écrit sur les routes : dans les wagons, les chambres d'hôtel, au comptoir des buffets de gares, partout où le besoin, et l'envie, de revenir chez soi surgissent.
Ce second recueil est celui d'une poésie affranchie, libératrice, terrienne. Au fil des pages, le lieu devient un véritable personnage. En effet, « chacun porte en lui son volcan, chacun se couche la nuit dans un cratère, chacun jette un oeil sur la reine noire ».
Ici, les petits riens du quotidien se succèdent et tracent la trame de notre existence : le premier baiser, un matin d'été, un entretien d'embauche, une bière, un café, une rupture, un voyage en train, l'écriture d'un poème...
- Il faut toujours se préparer à perdre est la première anthologie personnelle de Ludovic Villard. Elle réunit ici ses poèmes les plus marquants ainsi que de nombreux inédits. Sa poésie sensible et incisive oscille entre lumière et noirceur.
- Au fil des poèmes, Ludovic Villard convoque ses souvenirs et les figures des personnes qui l'inspirent et le nourrissent. Il révèle ses doutes, ses angoisses et les fantômes qui le hantent : « Ni le temps ni personne n'a tenu promesse / nous avions l'âge ne de pas douter / Puis le wagon s'éloigna, nous saluant d'un jet de fumée noire / Depuis nos pieds n'ont pas bougé. » Il dépeint ainsi avec lucidité, sagacité et une pointe d'ironie nos vies et surtout celles des oubliés, des invisibles de notre société.
- Ce que m'a soufflé la ville est une succession de pérégrinations urbaines, d'heures de marche, de trajets en train ou en RER, de bribes de conversations volées. Marcher, ne faire qu'un avec la ville pour percevoir et saisir ce qu'elle murmure et ce qu'elle a à donner.
- Arpenter la ville en quête de soi, marcher pour déjouer l'absence et accepter la solitude : « Le présent, c'est ce qui interrompt la mémoire. Comme les villes le ciel. » - Milène Tournier propose au fil de ses déambulations une autre façon d'habiter la ville : « À toi, qui crois que vivre, vraiment vivre, est sans doute autre chose que ce que tu fais. »
Thomas Vinau a remonté le fil des ans pour retrouver des poèmes devenus introuvables ainsi que des textes inédits.
Le Coeur pur du barbare se compose de trois parties dont les deux premières ont connu une première vie : « Fuyard debout » et « Les derniers seront les derniers ». La troisième section, « Poèmes d'une Amérique imaginée », est entièrement inédite.
L'auteur assemble des petits riens du quotidien comme l'orage d'un soir d'été, la lumière d'une fin de journée ou le souvenir fugace d'un rêve. Il leur apporte une valeur profonde, parfois philosophique, toujours émouvante, sous l'égide des artistes qui le fascinent et le nourrissent, comme Richard Brautigan, Raymond Carver, John Fante, Arthur Rimbaud, Sylvia Plath, Jim Morrison ou Basquiat.
- Mine de rien est la première anthologie personnelle de Rim Battal. Elle réunit ses poèmes les plus marquants ainsi que de nombreux inédits. Sa poésie s'inscrit dans une tradition poétique de l'intime, où l'intime est politique.
- Au fil des pages, elle s'intéresse aux corps, aux sexualités, à la maternité, aux rapports de pouvoir dans l'amour filial et plus largement à l'état actuel du monde. Elle explore et joue avec les différentes facettes des genres, esquissant ainsi un nouveau modèle de féminité !
Avec Mine de rien, Rim Battal entrouvre les portes de son univers !
Équilibriste de passage est la première anthologie personnelle d'Albane Gellé. Une écriture qui oscille entre le passé et le présent, entre l'intime et l'universel !
Ici, Albane Gellé entrouvre les portes de son univers.
- Équilibriste de passage est la première anthologie personnelle d'Albane Gellé. Elle réunit ses poèmes les plus marquants ainsi que de nombreux inédits. Sa poésie est à la fois lumineuse et sombre. Elle convoque de nombreuses émotions : la joie, la tristesse, le doute, la peur ou l'espoir.
- Au fil des poèmes, Albane Gellé évoque des souvenirs, le deuil, l'amour, des bribes de conversations et des fragments de vie. Elle construit un univers fragile et aérien où la nature et l'eau occupent une place centrale. Son écriture oscille entre le passé et le présent, entre l'intime et l'universel.
- Mélanie Leblanc interpelle les végétaux, l'eau, le vent, le feu, le minéral et l'animal pour trouver des réponses à l'existence et à l'acte d'écrire : " Apprenez-moi à vieillir avec des fleurs toujours fraîches ", " Apprenez-moi à faire danser mes couleurs ", " Apprenez-moi à écrire les premières gouttes d'une pluie d'orage ".
- Au fil des pages, elle relie grâce aux mots et à la poésie la nature et les humains, l'infiniment petit et l'infiniment grand, le cosmos et l'invisible, les être animés et les êtres inanimés. Elle invite également les lecteurs à se relier dans l'acte de lecture notamment avec ses poèmes visuels et in situ. Ainsi, son chant poétique unit la vie, la mort, les corps, les arts et les paroles.
Poèmes pour apprendre à lacer ses souliers est une porte d'entrée dans l'univers de Serge Pey. Au fil des poèmes, il scande des histoires, des anecdotes, des fragments de pensées.
-Selon Serge Pey « un poème est presque toujours écrit par ceux qui ne savent pas écrire de la poésie ».
- Poète nomade et adepte de la poésie action, Serge Pey écrit ainsi sa poésie. Au fil des poèmes, il scande des histoires, des anecdotes, des fragments de pensées.
- Serge Pey questionne le monde et joue avec ses mystères. Il interroge également l'acte de créer, d'écrire et les champs souterrains de la théologie négative. À travers Poèmes pour apprendre à lacer ses souliers, il dresse le portrait du poète d'aujourd'hui
- Billets d'où est la première anthologie personnelle de Laurence Vielle. Elle réunit ses poèmes les plus marquants ainsi que de nombreux inédits qu'elle performe ces derniers temps sur scène. Elle entrouvre ainsi les portes de son univers !
- Ici, Laurence Vielle désire le monde et ceux qui y vivent. Au fil des pages, elle tisse des ponts entre les mots, joue avec la syntaxe et les sonorités, laisse jaillir les images inventant, ainsi son propre langage celui d'une « poésie qui claque, qui déboule, qui emballe. »
« Que fait le poème devant le tissu du monde, devant des photos qui ont vu ce monde ? » - James Sacré a remonté´ le fil des années et a réuni des poèmes presque oubliés ainsi que de nombreux inédits pour composer Une rencontre continuée.
- Il sonde l'espace-temps entre la vie et l'écrit. Il joue avec les sonorités de la langue, varie les rythmes et tisse un pont entre les arts. Avec lui, la terre, les cailloux, les tissus, les pommes de terre ou les tuyaux deviennent poétiques.
- La poésie de James Sacré se loge partout, dans la vie paysanne, dans les souvenirs, dans les motifs, là où on ne l'attend pas.
Parce que le vrai voyage commence en poésie avec le «partir pour partir» de Baudelaire, voici des poètes en partance du coeur du XIX? au coeur du XX?. Non pas une compilation des plus baroudeurs, comme on collectionnerait les pages d'un passeport surchargé de visas, mais un recueil de ceux qui tracent leur destin en marge des balises, passent souvent les bornes et bouleversent notre vision du monde.
Prononcez le mot Frontières et vous aurez aussitôt deux types de représentations à l'esprit. La première renvoie à l'image des postes de douane, des bornes, des murs, de ces lignes de séparation entre états que l'on traverse parfois au risque de sa vie. L'autre nous entraîne dans la géographie de l'existence humaine, frontière entre soi et l'autre, entre réel et imaginaire, entre visible et invisible, sans oublier ces seuils que l'on franchit jusqu'à son dernier souffle. La poésie n'est pas étrangère à tout cela. Qu'elle naisse des conflits frontaliers, en Ukaine ou ailleurs, ou explore les confins de l'âme humaine, elle sait tenir ensemble ce qui divise et unit. Géopolitique et géopoétique se mêlent dans cette anthologie où cent poètes franchissent les frontières leurs papiers à la main.